Une envie furieuse de chocolat, un gâteau à la liqueur de café publié sur Bake to the roots… Il ne m’en fallait pas plus … J’ai adapté la recette à ma manière avec un alcool que j’adore en patisserie et en particulier marié au chocolat : le Baileys. Il s’agit de crème de whisky. C’est très riche et onctueux en bouche. En général, il se sert plutôt en digestif et on the rocks !
Je peux dire que je suis fière de moi. J’ai obtenu un gâteau hyper parfumé, moelleux, au goût riche en chocolat. J’aime bien rajouter des amandes effilées sur les gâteaux au chocolat. Cela apport un peu de croquant sans dénaturer le goût du gâteau.
Les photos ne lui rendent pas vraiment honneur parce que je les ai prises de nuit, très rapidement avant que mes invités n’arrivent…
Pour 8 à 10 personnes :
Ingrédients :
130g de farine
70g de cassonade
60g de chocolat
60g de beurre
60g de baileys
15g de cacao
1,5 oeuf
1/2 cac de bicarbonate de soude
1/4 cac de levure chimique
Préchauffez le four à 180°C.
Mélangez la farine avec le cacao et les poudres levantes.
Faites fondre le chocolat avec le baileys.
Fouettez le beurre avec le sucre, puis ajoutez les oeufs et le chocolat fondu.
Ajoutez la farine. Vous devez obtenir un mélange lisse et homogène.
Versez dans un moule à manqué de 18cm de diamètre.
Enfournez pour 40 à 45 min. Le gâteau doit être bien gonflé et une pique insérée à coeur doit ressortir sèche.
Laissez refroidir avant de démouler.
Ils ont testé :
Charlotte, sans conteste ma lectrice la plus assidue et la plus gourmande !
Des scones qui vont vous faire voyager au Mexique avec leur goût de cocktail Margarita ! Ici c’est le citron vert et la liqueur d’orange qui s’invitent pour parfumer ces scones ! Le Margarita a été inventé en 1948 par Margarita Sames. Il est normalement composé de Tequila, de Triple sec et de jus de citron vert.
C’est un mélange fruité vraiment très agréable. Ils sont parfaitement gonflés et on voit bien la séparation qui permet de les ouvrir en deux à la main et de les garnir de marmelade d’orange. Mais j’avoue être plus tentée à l’idée de les flamber au grand Marnier comme des crêpes Suzette !
Pour 3 scones :
Pour les scones :
130g de farine
25g de cassonade
50g de crème fraîche épaisse
20g de lait
10g de Grand Marnier ou Cointreau (2 cac) = liqueur d’orange
25g de beurre demi sel froid
1 cac de jus de citron vert
la peau d’1/2 citron vert mise en zeste
1/2 cac de bicarbonate de soude
1/4 cac de levure chimique
Pour le service :
1 orange
20g de sucre
10g de beurre
3 cac de Grand Marnier
Faites préchauffez votre four à 220°C.
Pour la sauce : prélevez le zeste de l’orange et pressez son jus. Coupez le beurre en morceaux.
Portez le jus à ébullition avec les zeste et le sucre et laissez réduire jusqu’à obtenir un mélange sirupeux.
Filtrez le mélanger pour retirer les zestes et la pulpe d’orange.
Ajoutez les morceaux de beurre et remuez régulièrement à l’aide d’une spatule ou d’une cuiller pour incorporez le beurre qui va fondre petit à petit.
Préparez les scones : mélangez tous les ingrédients secs d’un côté (farine, sucre, bicarbonate et zestes) et les humides de l’autre (lait, crème, jus de citron et Grand Marnier).
Ajoutez le beurre au mélange sec et sablez la pâte.
Ajoutez le liquide aux ingrédients secs et mélangez brièvement (juste pour amalgamez grossièrement) pour former une boule compacte.
Etalez la pâte sur 1,5 cm d’épaisseur environ et découpez des cercles de 7,5cm de diamètre à l’aide d’emporte pièce.
Placez les sur une feuille de papier sulfurisé et badigeonnez la surface d’oeuf battu ou de lait.
Faites cuire 12-15 min au four jusqu’à ce qu’ils soient légèrement dorés. Au besoin, s’ils colorent trop, couvrez les d’aluminium pour terminer la cuisson.
Laissez tiédir.
Service : arrosez les scones encore tièdes avec la sauce à l’orange.
Arrosez avec 1 cac de Grand Marnier et faites flamber dans la foulée devant vos invités.
J’avais adoré l’idée de Sylviane et son incroyable recette de glace au camembert, proposée pour le défi Recette autour d’un ingrédient #17. Alors, lorsqu’il a fallu que je crée un plat original pour un concours de cuisine, j’ai tout de suite pensé à réitérer son exploit. Je me suis rendue à ma fromagerie préférée et j’ai demandé conseil pour un fromage pouvant potentiellement se marier avec du ratafia champenois. On m’a tout d’abord suggéré un Langres encore jeune. Je l’ai trouvé très fondant niveau texture et très doux de goût. Un fromage qui m’a ravie en tant que tel mais que je voyais plus tartiné sur du pain. Pour l’application que je visais, j’avais besoin d’un fromage avec plus de force. C’est là, qu’on m’a proposé un Palet de Bourgogne. Il s’agit d’un fromage à la croûte lavée et très fondant. Un goût salé bien prononcé, du caractère mais pas de quoi anesthésier le palais comme de l’époisses. Mon choix était fait !
C’est une glace que vous pourrez servir en accompagnement de viandes blanches. En la laissant fondre sur la viande, elle se transformera en une délicieuse sauce onctueuse. J’ai mis 2 personnes, comme si c’était un dessert, mais je pense que l’on peut servir 4 convives avec 4 petites quenelles de glace.
Faites chauffer le lait avec le fromage coupé en morceaux pour le faire fondre.
Filtrez le lait au fromage à travers une passoire pour éliminer les morceaux de croûte qui n’auraient pas fondu.
Fouettez le jaune avec le sucre, jusqu’à obtenir un mélange mousseux.
Versez le lait aromatisé petit à petit sur l’oeuf sans cesser de fouetter.
Remettez ce mélange dans une casserole à feu doux pour le faire épaissir (comme pour faire une crème anglaise). Poivrez à votre convenance (une petite dizaines de tour pour moi).
Quand le mélange a épaissir, ajoutez l’alcool. Versez la préparation dans un bac à bord hauts et placez le au congélateur.
Utilisez une turbine pour faire prendre le mélange en glace, sinon fouettez-le :
toutes les 10 min au batteur pendant 1h
toutes les 20 min pendant l’heure suivante.
Sortez la glace 5 min avant de l’utiliser. Râpez la avec une cuillère en argent pour former de belles quenelles.
Petite info complémentaire :
J’ai eu la surprise (totalement fortuite) de découvrir que ce fromage rendait bien avec de la lavande (que j’avais utilisée simplement pour apporter une touche de couleur à ma présentation) ! Je pense vous proposer une recette sous peu !
Ce gâteau a été une véritable révélation pour moi ! Je suis rentrée le samedi tard de NY. J’avais prévu de faire mes courses le dimanche matin, manque de bol, j’ai oublié de programmer mon réveil. Résultat je me suis réveillée à 13h et bien évidement tout était fermé ! J’avais tout de même une furieuse envie de gâteau ou plus exactement Après 2 semaines sans réellement cuisiner, j’étais franchement en manque et j’avais envie de préparer quelque chose… Pas d’oeuf mais juste de la compote de pomme. Je me suis donc lancée dans une des multiples recettes sans oeuf de la blogosphère (la version de Rouge Framboise). Mais hors de question de faire un truc tout basique ! J’ai parfumé le mien avec du Baileys et pris du beurre de coco en guise de matière grasse.
tout nu …
habillé !
Verdict : un résultat moelleux incomparable ! Un gâteau franchement très humide et très agréable en bouche ! Avec, à ma grande surprise, une odeur et un goût de frangipane à se rouler par terre !
J’étais tellement transportée par cette recette, que je l’ai refaite le jeudi suivant pour apporter à mon labo. Cette fois ci, j’ai pris la peine d’habiller un peu mon gâteau pour le rendre encore plus appétissant… Les proportions sont simplissimes à retenir et il se prépare en moins de 5 min !
Pour 8 parts :
Ingrédients :
200g de farine (150 normale + 50 de riz)
200g de compote de pomme
80g de sucre (40 blanc + 40 muscovado)
50g de beurre de coco
50g de baileys
2 cac de levure chimique
Préchauffez votre four à 180°C.
Mélangez les ingrédients secs d’un côté (farine, sucre et levure) et les liquides de l’autre (compote, beurre fondu et baileys).
Mélangez les deux ensemble à la spatule, ne cherchez pas vraiment à obtenir une pâte lisse.
Versez dans un moule de 15 cm de diamètre.
Enfournez pour 40 à 45 min. La lame d’un couteau doit ressortir sèche.
Laissez refroidir complètement avant de couper.
Petite info complémentaire :
Sur ma première version, cuite au micro-ondes combiné d’ailleurs, j’ai mis 100g de sucre. Je l’ai trouvé un poil trop sucré alors, j’ai mis seulement 80g la fois suivante. A vous de voir.
La 1ere tentative (cuisson microonde)
2eme tentative (cuisson four trad)
Si vous n’avez pas de farine de riz ou de beurre de coco ou de sucre de muscovado, ne vous formalisez pas. C’est ce que j’utilise parce que j’aime beaucoup ces ingrédients mais vous pouvez faire sans. Le résultat devrait être tout aussi satisfaisant ! En revanche, il est vrai que le goût sera différent car le beurre de coco apporte une note supplémentaire. De même, le sucre complet de canne apporte de la couleur et une certaine profondeur de goût. En principe, la farine de riz rend les gâteaux plus légers comme la maïzena.
Et voici la deuxième terrine de l’année ! Une terrine plus classique avec des arômes de Porto et un peu de 4 épices pour la touche plus exotique. Le plus simple est d’acheter un foie gras déjà dénervé et déveiné. Si jamais vous tentez de le faire vous même et que vous vous retrouvez avec beaucoup de petits bouts de foie, ce n’est pas trop grave. Une fois cuit et tassé dans la terrine, on ne se rendra plus compte de rien. Rien de très sorcier, si ce n’est que, comme pour le foie gras à la vanille, il faut penser à préparer sa terrine à l’avance.
En faisant mes courses, je suis tombée sur ce magnifique étal. J’ai donc craqué pour les carottes de toutes les couleurs et il a bien fallu que je les utilise. Il me restait un petit fond de vin blanc de mon Turbot Bonne Femme, alors j’ai pensé à un risotto… Un beau plat complet et très généreux, tout à fait en adéquation avec cette période de l’année!
Je suis partie des saveurs d’une soupe de poulet au citron qui contenait des carottes et du céleri. Comme je ne suis pas fan de ce dernier, je l’ai remplacé par du poireau pour conserver la touche verte.
J’ai été très étonnée lorsque j’ai épluché ma carotte violette : le coeur est orange ! Elle a d’ailleurs déteint à la cuisson ce qui a apporté cette jolie couleur lie de vin au riz. Pour les photos, je me suis amusée à trier mon risotto. Je vous laisse imaginer le travail, tout ça pour vous en mettre plein les mirettes !
Pour 2 personnes :
Ingrédients :
70g de riz arborio
1 escalope de poulet (±130g)
30 cl de bouillon de volaille
5cl de vin blanc
1 petit poireau
100g de carottes de couleurs différentes (blanche, jaune, orange et violette)
1 lobe d’échalote
1 cas d’huile d’olive
4 bandes de peau de citron mis en zestes
30g de parmesan râpé
Emincez l’échalote. Pelez et coupez les carottes en rondelles.
Détaillez le poulet en dés et coupez le poireaux en tronçons.
Dans une grande poêle, faites revenir l’échalote dans l’huile d’olive à feu assez vif.
Quand elle est translucide, ajoutez les morceaux de poulet et faites les bien dorer.
Ajoutez le riz et mélangez bien pour l’enrober de gras.
Mouillez avec le vin blanc et passez à feu doux.
Quand il est totalement absorbé, ajoutez les rondelles de carottes et de poireaux, les zestes de citron et 1 louche de bouillon.
Couvrez et laissez mijoter 10 min.
Découvrez et laisser le liquide s’évaporer.
Continuer ensuite à ajouter le bouillon progressivement en laissant le temps au riz de l’absorber complètement entre chaque ajout.
Quand vous avez épuisé le bouillon, ajoutez le parmesan râpé. Mélangez bien et servez aussitôt.
Je me suis acheté un turbotin sur un coup de tête… Je me suis trouvée bien embarrassée une fois rentrée chez moi par ce poisson d’une taille assez copieuse et à la chair réputée très fine. N’ayant pas de plat adapté à sa cuisson, j’ai levé les filets (moi même, petite fierté passagère, je n’avais jamais fait ça) et je les ai cuisiné de différentes manière :
meunière (fariné puis cuit dans de la matière grasse)
farci (mélange de pommes, raisins, cranberry et poudre d’amande avec une lichette de calavados pour la cuisson)
bonne femme (sauce aux champignons et vin blanc)
C’est une manière très simple d’accommoder du poisson. La cuisson se fait en une quinzaine de minutes au four. En dehors de la sauce, c’est un mode de préparation vraiment pauvre en matière grasse.
Pour 2 personnes :
Ingrédients :
2 filets de poisson blanc (sole, turbot, carrelet, dorade, colin…)
6 champignons de paris
1 échalote ou 1 petit oignon rouge
5cl de vin blanc
5cl d’eau ou de fumet de poisson
1 cac farine
2 noix de beurre
basilic ou estragon selon votre préférence
Préchauffez votre four à 200°C.
Emincez l’échalote et coupez les champignons en lamelles après les avoir épluchés.
Beurrez avec 1 noisette de beurre un plat à four, faites un lit de champignons au fond. Ajoutez les échalotes par dessus puis le poisson.
Donnez quelques tours de moulin à poivre, saupoudrez de basilic séché puis arrosez avec le vin blanc et l’eau.
Couvrez avec de l’aluminium et faites cuire 10 à 12 min au four.
A la sortie du four, mettez de côté le filet de poisson et les morceaux de champignons.
Filtrez le jus de cuisson.
Dans une casserole, écrasez la dernière noix de beurre avec la farine. Délayez progressivement ce mélange avec le liquide filtré.
Faites épaissir cette sauce en la faisant bouillir quelques minutes. Nappez le poisson et les champignons avec.
L’Irish soda bread est une recette de pain irlandais vraiment très rapide. Il est traditionnellement fait à partir de lait fermenté (le buttermilk) et de levure chimique (la baking soda). Façonné sous forme de grosse miche (rire gras), il présente souvent une incision en forme de croix sur le dessus. C’est un pain assez dense et très moelleux, d’une certaine manière, c’est un scone géant !
J’ai déniché une recette de soda bread très nutritive à base de farine de blé complet et de farine de seigle. La bière apporte un goût vraiment bien particulier et très agréable. Ce pain est divinement rustique ! Il vous fera des toats vraiment très savoureux pour le petit déjeuner ou pour un Welsh Rarebit !
Je m’étais inscrite pour l’escapade en cuisine du mois d’Octobre parce que son thème était : les pommes! Impossible pour moi de rater un événement autour de mon fruit quotidien préféré. Mais, je me suis rendue compte que même si j’en mangeais tous les jours, je ne cuisine pas vraiment les pommes (à part pour accompagner du boudin ou en crumble… et encore, je préfère largement les croquer telles qu’elles).
Bon, dans le coup, Bénédicte de Osez la gourmandise, venait se servir chez moi et je devais piocher une recette chez La Cuisine pour Voozenoo. J’ai hésité entre plusieurs recettes :
Ce sont les premiers qui me tentaient le plus, mais je n’avais pas envie de me retrouver avec toute une collection de jaunes d’oeuf. Les barres de céréales, je me les garde pour plus tard! Résultat, je me suis lancée dans les toasts au camembert, mais j’avais envie d’un peu de challenge alors cela s’est transformé en camembert au four avec une couronne de pain croustillant en étoile autour. Pour aromatiser mon camembert, j’ai gardé la même base que Natly : du calva, des pommes et du miel !
Je suis partie sur un pain sans pétrissage et le résultat a une fois de plus été magique. J’ai ajouté un mélange d’épices (Steak House de Ducros) dans la pâte. Mais ce n’était pas le meilleur choix. Je pense que des herbes de provence aurait été meilleur voire pourquoi pas, pour les audacieux, un soupçon de cannelle..
Au final, je suis très contente de ce petit repas très convivial, qui est plutôt sympa pour un apéro ! Agrémentez le de pleins d’à côté, comme des cranberries séchées ou des raisins secs, du sésame ou du pavot, des pignons de pain ou des noix etc… Vous pouvez très bien remplacer le calva par du cidre.
Pour 2 personnes :
Pour le pain :
125g de farine T45
10cl d’eau
1/8 de cube de levure fraîche (5g)
1/2 cac d’herbes de provence
1/8 cac de sel
Pour le camembert :
un petit camembert de 150g
1 cas de calva
1/4 de pommes
1 cac de miel
Préparez le pain : mélangez la farine au sel et aux herbes.
Dissolvez la levure dans l’eau tiède.
Avec une spatule, mélangez la farine au liquide. Vous devez obtenir une pâte bien collante.
Couvrez de film étirable et laissez doubler de volume (1h30 environ).
Pendant ce temps : pelez le quartier de pomme et coupez la pomme en petits dés.
Dans un bol, mélangez le Calva avec le miel et les morceaux de pommes. Laissez macérer.
Préchauffez le four à 240°C en chaleur tournante.
Préparez le camembert : Ôtez le camembert de son emballage puis replacez le dans sa boîte en bois.
Avec un couteau pointu, enlever la croûte du dessus.
Pelez le quartier de pomme et coupez la pomme en petits dés.
Dans un bol, mélangez le Calva avec le miel et les morceaux de pommes.
Incisez le fromage en croix puis arrosez le avec le jus de macération des pommes.
Déposez les pomme sur le dessus du camembert.
Façonnage : farinez généreusement un plan de travail puis versez la pâte à pain dessus.
Enrobez bien la pâte de farine et percez un trou en son centre. Elargissez le de manière à pouvoir placez la boîte à camembert au milieu.
Déposez la boîte de camembert garnie avec sa couronne de pâte sur une feuille de papier sulfurisé.
Avec une paire de ciseaux, coupez des branches dans cette couronne de pâte. Incisez ensuite chaque branche dans sa longueur.
Avant d’enfourner, jetez un verre d’eau bouillante sur la sole du four et mettez y immédiatement votre pain-camembert.
Faites cuire 20 à 25min en baissant à 220°C, le temps pour le pain de dorer et pour le camembert de couler de manière irrésistible !