Je vous propose un banana bread sans sucre, ni matière grasse ajoutée ! C’est un banana bread inspiré de la Belgique et de son savoir-faire autour du praliné et du chocolat. J’adore les jours où l’on prépare le praliné noisette chez Godiva. L’odeur des noisettes torréfiées est tout simplement merveilleuse !
N’étant pas sûre de mon coup, je n’ai préparé qu’une toute petite quantité de ppate… A ma grande surprise, le résultat était totalement à la hauteur ! Certes, ce n’est pas tout à fait aussi gourmand qu’un cake classique (nettement plus gras et sucré), mais il reste particulièrement satisfaisant et parfumé. Cela permet de se faire plaisir sans trop de culpabilité !
Un beau cake de 26 cm de long, sans sucre, ni matière grasse ajoutés, qui développe des arômes fruités de banane et ceux plus gourmand de la noisette et du chocolat
Type de plat Cakes
Cuisine Belgique, sans beurre, sans lait, Sans sucre
Temps de préparation 15minutes
Temps de cuisson 45minutes
Temps total 1heure
Portions 12personnes
Ingrédients
200gfarine
80gpraliné noisetteCallebaut
2oeuf
2bananeà la peau noire
1caclevure chimique
30gpépite de chocolat
30gnoisetteconcassée
Instructions
Préchauffez votre four à 180°C.
Mélangez le praliné avec les bananes écrasées.
Ajoutez ensuite les oeufs puis la farine mélangée à la levure chimique.
Enfin incorporez les pépites de chocolat et les noisettes concassées. Mélangez rapidement à l'aide d'une spatule pour les répartir de manière homogène.
Versez la pâte dans un moule à cake de 26 cm de long.
Enfournez pour 45 à 50 min. Le gâteau doit avoir bien gonflé et pris une belle teinte dorée-brune.
Les cougnous sont des brioches traditionnelles de Belgique. Elles sont censées représenter l’enfant Jésus emailloté et sont dégustées à l’occasion de la Saint Nicolas et de Noël. J’ai choisi d’ajouter des zestes d’orange avec de l’Amaretto et de la fleur d’oranger pour parfumer la pâte. A défaut d’orangettes ce jour-là, j’ai ajouté du sucre perlé. Normalement, c’est une pâte très semblable à celle de la brioche Craquelin. Elle est riche, dense et moelleuse.
Pour une version encore plus noëllisante, utilisez du beurre d’amande à la place du beurre voire même du lait d’amande ! Vous allez y gagner en rondeur et gourmandise. Cela fera aussi écho à la touche d’Amaretto ! Sans compter que cela peut faire une alternative intéressante pour les intolérants au lactose.
Attention pour les utilisateurs de machines à pains : les grains de sucre sont très durs et vont totalement limer le revêtement au cours du pétrissage. Il vaut donc mieux les incorporer à la main. Par ailleurs n’espérez pas gagner du temps, en mettant directement les grains de sucre avec le reste des ingrédients dès le début. Pendant la première pousse, le sucre va faire dégorger la pâte et cela va être un fiasco total (c’était mon premier essai, follement trop sucré et écoeurant).
C’est une variante plus festive de la carbonnade flamande. Cela mijote longuement dans la bière et on ajoute un peu de pain d’épices pour lier la sauce et la rendre délicieusement épaisse.
Pour mettre l’accent sur Noël qui approche, j’ai choisi des châtaignes en accompagnement avec des cranberries séchées (qui viennent des Chemins de la Ferme). Niveau épices, j’ai fait un mélange entre du mélange Médiéval de la marque Le Monde en Tube et du mélange pour Pain d’épices (qui tire beaucoup plus vers la cannelle). C’est un plat parfait à servir avec des haricots verts.
Il ne faut pas trop remuer le plat à partir du moment où l’on a ajouté les chataignes, sinon elles risquent de se réduire en purée.
Mijoté de porc aux chataignes, cranberry et épices de Noël
Un mijoté de porc avec de beaux lardons fumés, des châtaignes et des cranberries, nimbés d'une sauce sirupeuse à base de pain d'épices et de bière, comme un petit goût de Noël avant l'heure.
Type de plat Porc
Cuisine Automne, Belgique, France, Hiver, Noël
Temps de préparation 10minutes
Temps de cuisson 35minutes
Temps total 45minutes
Portions 3personnes
Ingrédients
350gporc
25cl bièreici de la Chimay
35goignon= 1/4 d'oignon
350gchataigneen bocal
1/2cacépices pour pain d'épices
1cacfarine
35glardon fuméou 1 tranche de poitrine fumée
30gpain d'épices
Instructions
Taillez la viande de porc en cubes. Emincez finement l'oignon.
Faites revenir les oignons avec les lardons dans une casserole à feu moyen. Quand ils sont translucides, ajoutez la viande et faites la rissoler.
Quand elle est dorée saupoudrez avec la farine, mélangez un peu pour la répartir sur tous les morceaux. Mouillez avec la bière, ajoutez les cranberry et les épices. Couvrez et laissez mijoter à feu doux pendant 15 min.
Au bout des 15 min, ôtez le couvercle, ajoutez le pain d'épices et les chataignes. Laissez réduire la sauce jusqu'à ce qu'elle nape le dos d'une cuillère.
Maintenant que je vous ai présenté la manière de faire les mauricettes, on va s’attaquer à une idée de garniture. Pour faire honneur au printemps, je vous propose un ingrédient bien printanier : l’asperge. En Belgique, une manière prévaut pour les grosses asperges blanches : une sauce au beurre avec une préparation type oeuf mimosa au persil.
Je suis partie de cette base mais en ajoutant une pincée de coriandre en poudre (c’est une épice que j’adore particulièrement avec les oeufs), des pépites de bacon et une fine couche de moutarde aux Noix d’Edouard Fallot (elle est d’une finesse de goût délicieuse) !
Je dédie cette recette à Cuisinons de Saison organisé par Claudine de Cuisine de Gut.
Des petits sandwichs à manger sur le pouce ou en apéro garni d'oeuf mimosa au persil, coriandre et bacon avec une belle tête d'asperge blanche.
Type de plat Apéritif, Boulange, Oeufs et ses déclinaisons, Pain
Cuisine Alsace, Belgique, France, Printemps
Temps de préparation 10minutes
Temps de cuisson 15minutes
Temps total 25minutes
Portions 4mauricettes
Ingrédients
4mauricette
2oeuf
2cachuile d'olive
1cacpersilhaché
1/4caccoriandre en poudre
4tranchesbacon
4asperge blanche
2cacmoutarde à l'ancienne aux noix
Instructions
Préparez les ingrédients
Coupez 1 à 2 cm de la base des asperges puis pelez la base à l'aide d'un économe pour lui donner une forme de pointe.
Portez un grand volume d'eau à ébullition. Plongez les asperges dedans (l'eau doit arriver à mi hauteur des asperges), couvrez et laissez cuire entre 10 et 15 min. Un couteau doit s'enfoncer facilement dans la chair des asperges.
Egouttez les et rincez les asperges sous de l'eau bien froide. Ajustez leur taille à la dimension des mauricettes. Réservez.
Pendant la cuisson des asperges, faites cuire les oeufs pendant 8 min dans de l'eau bouillante. On veut qu'ils soient durs.
Faites cuire les tranches de bacon à la poêle ou au micro onde. On veut qu'elles soient dorées et croustillantes. Laissez les refroidir avant de les émietter en petits copeaux.
Ciselez finement le persil.
Ecalez les oeufs. Coupez les en deux, ôtez la partie jaune et travaillez la à la fourchette avec l'huile d'olive, la coriandre et le persil.
Hachez la partie blanche pour la détailler en tous petits morceaux.
Incorporez les morceaux de blanc et de bacon à la pâte à base de jaune d'oeuf.
Dressage
Coupez les mauricettes en deux.
Tartinez la base avec une fine couche de moutarde (1/2 cac environ) et recouvrez la avec la préparation à base d'oeuf.
Ajoutez une asperge blanche et refermez le bretzel.
J’ai profité de la présence de mon homme en territoire belge pour tester un burger shop de mon quartier : le Be Burger. Nous avons été séduits par son ambiance cosy et épurée, sa touche de modernité et surtout ses recettes de burgers originales et généreuses.
En plus d’être spacieux, c’est un endroit particulièrement clair et lumineux. Les tables sont assez larges, pas trop collées les unes aux autres, et la grande pièce est divisée en différents espaces grâce à des petits pans de murs. Je pense que cela doit limiter le bruit, mais comme nous l’avons testé en plein milieu d’un samedi après-midi, difficile à dire. L’accueil se fait avec un serveur des plus affables et souriants. Après nous avoir laissé choisir notre table, il nous a remis d’épais menus qui était en réalité des tablettes ! Cette présentation m’a beaucoup amusée. C’est vraiment interactif mais j’aurais cru que le vice serait poussé jusqu’à permettre aux clients de commander « en ligne » (un peu comme chez Max à table à Bordeaux). Mais à ma grande surprise, le serveur est revenu vers nous pour prendre notre commanden de manière traditionnelle.
Le choix a été assez cornelien. Les burgers sont dans une gamme de prix nettement plus haute que ma normale mais on vous propose une viande de qualité (de la black Angus) et des recettes qui sortent un peu des sentiers battus. Par exemple, le Panam est un burger au brie avec une sauce à la truffe, ou encore le Old British contient un oeuf! Bien sûr vous allez retrouver des classiques comme le New York qui est l’équivalent d’un bacon cheeseburger. Mais pour fois, vous avez la possibilité d’aller vers un peu plus de fantaisie sans rogner sur la qualité.
La carte des burgers partie II
La carte des burgers partie I
Le service (à mon avis) doit se faire à une vitesse raisonnable même au moment du coup de feu. Je pense qu’étant donné que nous étions quasiment seul, le personnel a peut être pris un peu plus de temps qu’en période de rush. En attendant, cela ne m’a pas dérangée d’attendre un peu. Cela m’a permis de me pencher sur le cadre et l’ambiance générale.
L’arrivée de nos burgers nous a mis l’eau à la bouche. Les sandwichs présentent très bien : ils sont hauts et bien garnis avec un steak épais, le pain est large et doré. Les frites sont présentées dans un cornet. Leur quantité est d’ailleurs appréciable. Point intéressant, elles ne sont pas salées lorsqu’elles arrivent devant vous. J’avoue que j’ai cherché le poivrier sur la table pour ajuster l’assaisonnement à ma convenance (enfin c’est vraiment histoire de pinailler).
Le Panam
Le Jack
Je suis un peu restée sur ma faim quant aux sauces. N’importe quelle friterie belge affiche un alignement conséquent de sauces (samouraï, blanche, tartare, mayonnaise, ketchup, américain, cheddar… ) alors qu’ici, le choix se réduit à du ketchup, de la mayonnaise, une BBQ faite maison et la sauce Be (mix ketchup-mayo avec des câpres). J’aurais bien vu une sauce onctueuse aux 4 épices avec une pointe de paprika fumé pour accompagner mes frites de patates douces… Enfin encore une fois, je chipote.
Le Brussels
Nous avons fait moitié-moitié sur nos burgers et les deux m’ont comblée. On sent réellement le goût des truffes dans la sauce du Panam (contraitement à certains vinaigres aromatisés qui peuvent être décevants). La viande est cuite à point, il n’y a pas trop de sauce. Les goûts sont vraiment équilibrés et harmonieux. Mais je reconnais que j’ai eu une nette préférence pour le Jack, qui avait un peu plus de caractère ! Le pain est bien moelleux sans être trop bourratif. J’ai pu engloutir mes frites et mon burger sans en regretter une seule miette ! L’homme s’est d’ailleurs réveillé trop tard pour goûter mes frites de patate douce ^^
Quelques semaine plus tard, je suis allée me chercher un Brussels pour la Saint Valentin (oui, on se console comme on peut quand on fête la saint Valentin à 600 km l’un de l’autre). Encore une fois, j’ai été surprise et comblée par la qualité de mon burger. La promesse des oignons confits à al bière est tenue. C’est une recette a priori simple mais exécutée avec beaucoup de goûts (dans un sens très terre à terre de cette expression). Il fut de très bonne compagnie !
Vous l’aurez compris, je suis totalement séduite par cette enseigne. C’est une adresse dont je ne me lasse pas. Il existe 4 Be Burger sur Bruxelles chacunes avec des menus légèrement différents (notamment sur les accompagnements). Le seul point noir que je vois serait le prix assez copieux si l’on veut accéder à des burgers plus élaborés. Autremetn, j’aurais aussi préféré avoir une formule burger + accompagnement + boisson valable tout le temps et sur tous les burgers plutôt que la possibilité de les doubler. Un burger premium, cela ne fait pas de mal de temps en temps !
Résumé
« Be Burger»
Burgers
Lunch : 11,90€ (burger+ frite) Burger : de 12 à 22€Lundi au Vendredi :
12h-14h30
Quand j’ai vu l’appétissante recette de boulets à la liégeoise sur le blog de Marlyzen, j’ai tout de suite compris qu’il fallait que je teste. Entre la promesse d’une sauce à la bière, d’une viande qui mijote et des arômes sucrés et salés, c’était l’annonce d’un plat de rêve !
J’ai travesti cette recette en une version pour burger avec un steak haché au lieu des boulettes de viande. J’ai gardé la même sauce enrichie en oignon, ajouté du bacon pour le croustillant et la touche salée ainsi que du fromage hollandais (du Old Amsterdam pour son goût riche et piquant).
Avec cela j’ai choisi un pain à la moutarde aux cèpes avec de l’huile de sésame. Je l’ai doré au blanc d’oeuf, ce qui lui a donné un aspect croûté et je l’ai parsemé d’un mélange de flocons d’avoine et de graines de lin brun.
Le rendu était rustique et plein de caractère. J’avais pris un mélange de boeuf/porc haché, mais j’ai moyennement apprécié le goût. Je pense qu’une recette exclusivement boeuf, serait meilleure.
Cette recette était l’occasion pour moi d’utiliser un des derniers produits que m’a offert mon partenaire Signé Aquitaine : la bière ambrée de chez Gasconha, la brasserie de Pessac. A ma grande surprise, elle était très peu gazeuse. J’ai pu en boire avec plaisir au moment de préparer ma sauce. Son goût n’était pas trop amer. Elle m’a beaucoup plu !
Je ne peux pas vous proposer de crumble plus simple ! La croûte est uniquement constituée de spéculoos, de noix de coco et d’un peu de beurre pour lier le tout !
Je l’ai réalisé avec des framboises venant des Chemins de la Ferme. C’était les dernières de la saison et je les ai surgelées pour les cuisiner un peu plus tard et retrouver tout leur pep’s au coeur de l’automne. Elles étaient bien grosses et gorgées d’un jus qui s’est mélangé à la saveur des pommes et à la confiture de cassis pour donner un sirop acidulé et fruité qui a contrasté avec les saveurs chaudes et réconfortante du spéculoos. Chéri-chéri était sceptique sur l’ajout de coco, personnellement j’ai adoré ! C’est comme une touche de lait dans un thé chaï.
Pour 4 personnes :
Ingrédients :
3 petites pommes type Golden ou Royal gala
1 barquette de framboise (125g )
120g de spéculoos
30g de noix de coco râpée
30g de beurre mou (margarine)
1 cas de confiture de cassis ou tout autre fruit rouge (facultatif)
Préchauffez votre four à 210°C.
Mixez les spéculoos avec la noix de coco jusqu’à former une sorte de poudre.
Amalgamez grossièrement avec le beurre à l’aide de vos doigts. Vous allez obtenir une poudre collante et très friable.
Pelez et épépinez les pommes puis coupez les en petits dés. Mélangez les avec la confiture de cassis.
Déposez les pommes dans un plat à four (de 20 cm de côté environ) et répartissez les framboises parmi les pommes (je les avais surgelées pour qu’elles soient moins sensibles et les mélanger aux pommes plus facilement).
Recouvrez avec la préparation spéculoos-coco. On ne doit plus voir les fruits.
Enfournez pour 20 à 25 min. La croûte de spéculoos doit être croquante.
J’ai envie de continuer sur la lancée des recettes estivales mais pour se souvenir qu’en Avril on ne doit pas se découvrir d’un fil, j’ai eu envie d’une glace au parfum un peu hivernal. Quoi de mieux que le spéculoos dans ce cas ?! Ca sent tellement bon Noël avec toutes ses épices ! C’est une glace vraiment dense et crémeuse. On fait difficilement plus gourmand et riche ! De quoi se chouchouter même quand il fait chaud !
Pour 70 cL de glace :
Ingrédients :
20cl de crème liquide ENTIERE
100g de lait concentré sucré
100g de pâte de spéculoos
3 spéculoos
Placez la crème 15 min au congélateur.
Emiettez grossièrement les spéculoos.
Mélangez la pâte de spéculoos au lait concentré sucré (vous pouce éventuellement faire chauffer légèrement la pâte de spéculoos pour la fluidifier).
Montez la crème en chantilly.
Fouettez en 1/3 avec le lait concentré aromatisé pour assouplir ce mélange.
Puis incorporez les 2/3 restant à l’aide d’une spatule.
Versez dans un bac à glace en alternant couche de glace et brisure de spéculoos.
Je n’avais pas vraiment envie de me faire des crêpes le weekend dernier pour la chandeleur. J’étais beaucoup plus tentée par quelque chose de plus gourmand : des gaufres liégeoises !!! Mais histoire de changer, je suis partie sur une pâte à brioche roulée avec de la vergeoise à la cannelle et des morceaux de noix de pécan pour imiter des cinnamon rolls, grande spécialité américaine !
J’ai complètement succombé ! Comment vous dire … La vergeoise a caramelisé pendant la cuisson. Ca a donné un rendu superbe avec la cannelle et le noix de pécan qui croquaient sous la dent… Très très réconfortant avec un chocolat chaud bien épais!
Je suis repartie de ma recette de gaufres liégeoises fourrées. Mais comme il me restait beaucoup de jaunes d’oeufs à cause de mes récentes tentatives de gâteaux meringués. Du coup, je les ai utilisé dans la pâte à brioche. Mais n’hésitez pas à mettre un oeuf entier. J’ai aussi modifié la quantité de beurre et de sucre, sachant qu’on en rajoute beaucoup ensuite… Enfin, pour un clin d’oeil plus poussé aux cinnamon rolls, j’ai glacé quelques gaufres avec un mélange eau/sucre glace/arôme vanille.
Pour 12 gaufres :
Pour la pâte à gaufre :
250g de farine spéciale brioche
80g de beurre demi sel
20g de sucre (dont 1 sachet de sucre vanillé)
10cl de lait
2 jaunes d’oeuf
1/8 de cube de levure de boulanger
Pour la garniture :
30g de vergeoise brune
30g de cassonade
1 cac de cannelle
50g de noix de pécan
20g de grains de sucre
Préparez la pâte à brioche : délayez la levure dans le lait tiédi (pas plus de 37°C).
Placez dans les ingrédients dans votre MAP et terminez par la farine.
Lancez le programme pâte (1H30).
Façonnage : mélangez la cassonade avec la vergeoise et la cannelle. Vous devez faire un sucre homogène.
Concassez grossièrement les noix de pécan.
A la fin du programme, étalez votre pâte en un grand rectangle.
Répartissez le mélange de sucres à la cannelle sur toute sa surface.
Ajoutez les brisures de noix de pécan et les grains de sucre.
Roulez la pâte en escargot.
Découpez des tronçons de ±1,5cm d’épaisseur et déposez les sur une feuille de papier sulfurisé en attendant.
Cuisson : faites bien chauffer vos fers.
Déposez une rondelle de pâte roulée par fers et cuisez ±5min selon la puissance de votre appareil. Les gaufres doivent être bien dorées et caramélisées.