Gnocchi poêlés au saumon, brocolis et chèvre

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Comme promis, je vous présente une délicieuse poêlée pour utiliser mes gnocchis au basilic. C’est un plat complet et très savoureux, plutôt rapide à faire si vous avez déjà des gnocchis de côté au congélateur. Une fois de plus, pas de matière grasse ajoutée, on fait tout avec le saumon.

Pour 2 personnes :

Ingrédients :

  • gnocchis au basilic (toute la recette)
  • 1 pavé de saumon (±150g)
  • 100g de brocolis
  • 1 crottin de chèvre (60g)
  • 1 petit oignon blanc (facultatif)
  1. Emincez l’oignon.
  2. Portez un 2 grands volumes d’eau à ébullition.
  3. Dans le premier : faites ajoutez 1/2 cac de bicarbonate de soude et faites y blanchir le brocolis pas plus de 5 min.
  4. Dans le deuxième : ajoutez une bonne pincée de gros sel et faites cuire les gnocchis dedans. Egouttez les dès qu’ils remontent à la surface.
  5. Dans une poêle bien chaude, faites dorer le saumon. Quand il est bien cuit, mettez le de côté.
  6. A la place, mettez y les oignons avec les gnocchis. Remuez régulièrement pour éviter que les gnocchis ne brûlent. Quand ils sont dorés et croustillants à point, ajoutez les brocolis et le saumon. Réchauffez quelques minutes.
  7. Répartissez dans des assiettes et émiettez le crottin de chèvre sur la poêlée bien chaude.

Madeleine à l’amande en coque de chocolat

Une petite gâterie bien moelleuse et parfumée à savourer avec son thé ! Plus la peine de la présenter, la madeleine a déjà largement fait ses preuves. Dans le commerce, on les trouve généralement aromatisées à l’amande amère ou à la fleur d’oranger. Traditionnellement, elles sont plus souvent au citron.

Je suis restée sur de l’arôme d’amande amère en l’agrémentant d’une coque au chocolat noir qui apporte un croquant très agréable. Pour une légèreté supplémentaire, j’ai remplacé une partie de la farine par de la farine de riz. Mais si vous n’en avez pas, n’en achetez pas exprès ! Sinon, pas de temps de repos pour cette pâte. On attrape un saladier et un batteur et en 20 min grand max, on se retrouve avec une délicieuse fournée de madeleines toutes chaudes.

Pour 8 madeleines :

Ingrédients :

  • 25g de farine de blé
  • 25g de farine de riz
  • 40g de sucre blanc
  • 30g de beurre mou
  • 1 oeuf
  • 1/2 cac de levure chimique
  • quelques gouttes d’arôme d’amande amère (attention, c’est très puissant comme arôme)
  • 50g de chocolat pour la couverture
  • 1 petite poignée d’amandes effilées pour saupoudrer
  1. Préchauffez votre four à 200°C.
  2. Dans un saladier, battez le beurre mou avec le sucre.
  3. Ajoutez ensuite l’oeuf avec l’arôme.
  4. En dernier, incorporez la levure mélangée à la farine.
  5. Remplissez vos empreintes à madeleines aux 3/4 et parsemez la surface d’amandes effilées.
  6. Enfournez pour 10 à 12min.
  7. Laissez tiédir les madeleines puis démoulez-les.
  8. Faites fondre le chocolat au bain-marie et tremper le dessous de chaque madeleine dedans. Posez la madeleine face bombée sur une grille le temps que le chocolat fige.

Petite info complémentaire :

Vous pouvez aussi remplacer une partie de la farine par de la poudre d’amande.

Tamatebako : un salon de thé bio apaisant

J’occupe habituellement mon dimanche après-midi avec un ciné suivi d’un salon de thé. Cette fois-ci, je suis allée tester le Tamatebako. Ce sanctuaire est ouvert depuis Mai 2015, mais reste assez peu connu du fait de sa proximité avec le renommé Books & Coffee. Quel dommage pourtant de passer à côté lorsque l’on s’égare dans le coin de la Grosse Cloche.

La salle donne l’impression d’un volume assez grand. Sur le coup, le fait de voir une cheminée blanchie à la chaux, m’a propulsé droit dans une salle de banquet. Très châtelain tout ça. Je pense que cette sensation d’espace est accentuée par les étagères qui vont du sol au plafond et longent tout un pan de mur où s’alignent les caisses de thés. J’avais le sentiment d’être face à une classification périodique géante à cause de l’initiale pour indiquer s’il agit de thé Vert, Noir, Rouge etc… Ce petit côté laboratoire et scientifique vous poursuit jusque dans les erlenmeyer qui servent de carafe d’eau ! En dépit de cette salle au plafond très haut, il n’y a pas tant de place que cela pour s’asseoir à l’intérieur. Quelques places supplémentaires sont disponibles en terrasse.

J’ai trouvé l’atmosphère très apaisante. Sans doute grâce aux tons crème et foncés que l’on retrouve partout : la couleur des murs, les caisses de thé en bois, le mobilier, la lumière légèrement jaune qui donne un rendu très chaud, chaleureux. Et puis, il n’y a pas de brouhaha comme dans un coffee shop. Tout se fait dans un quasi silence. Enfin façon de parler puisque les gens discutent, le couple de patrons et leur employée plaisantent entre eux, mais c’est calme, sans précipitation. Le fond musical est n’est pas trop fort (en plus d’être bien choisi). Tout est carré, droit, sans surplus. Il n’y a pas de décoration particulière. C’est simple, sobre et cela contribue (je pense) à créer cette atmosphère de détente et de calme. Rien ne vient perturber le regard.

Après s’être attardé sur cet environnement, penchons nous un peu sur la carte : une planche à clip avec 4 feuilles recto-verso accrochées dessus. Et quand on commence à feuilleter tout ça on s’aperçoit que c’est très bien fait. Les cafés ainsi que les thés sont divisés en sous-catégories : thé vert nature, thé vert parfumé, thé rouge, thé blanc, thé oloong etc… Il est très facile de s’y retrouver. Le plus dur est de faire son choix : il y a presque une centaine de références !!!!  J’ai demandé conseil à la serveuse pour choisir un thé blanc et elle m’a fait venir le patron qui est un vrai connaisseur. En effet, sa femme et lui ont choisi eux-mêmes leurs produits et leurs fournisseurs, après avoir dégusté chacun de leurs crus.

Verdict : il m’a suggéré de commencer par un thé blanc nature Bao Mao, pour que je puisse me familiariser avec le goût propre au thé blanc. Au passage, j’ai pris un cake au citron. Il y’a avait également un cake à l’orange et un autre au chocolat. Comme me l’a expliqué le patron, ils fond leurs gâteaux eux mêmes et ont attaché un soin tout particulier à proposer des textures différentes. Ainsi celui au citron est très dense (comme celui de la Cuisine de Bernard) tandis que ceux à l’orange et au chocolat sont gonflés comme des cakes classiques. Vous pouvez aussi prendre votre petit déjeuner chez eux. Il existe 2 formules plus ou moins copieuses selon votre appétit.

Bref, je les ai regardé de loin préparer ma petite collation. Ils prennent vraiment leur temps. C’est peut-être la seule chose que je pourrais leur reprocher et encore, d’un autre côté, c’est pas plus mal de se dire qu’ils apportent vraiment un soin à notre commande. Bref, on a déposé devant une théière où mes jolis bourgeons de thé étaient en train d’infuser, un chronomètre pour que je puisse déguster mon breuvage au bon moment et mon petit cake.

J’ai commencé par le cake en attendant que mon thé soit prêt. Le glaçage qui se craquèle sous la fourchette, qui s’enfonce ensuite doucement dans la masse du gâteau… Première bouchée : un goût intense en citron, une sensation de moelleux un peu dense, l’arrière-goût un peu amer des zestes de citron… Un régal pour les gens qui adorent les cakes au citron à la saveur intense et bien corsée !

Quant à mon thé, il était à la hauteur.  J’ai demandé avoir une deuxième eau et on me l’a accordée sans payer de supplément. Mes feuilles ont donc été infusées une deuxième fois avec comme conseil de les laisser seulement 3 minutes au lieu de 5min.

Voilà, j’ai passé un très agréable moment dans ce lieu. J’ai apprécié de pouvoir m’attarder et discuter avec les gérants. Pas grand chose de négatif à en dire mais ne perdez pas de vu que les prix sont plus élevés que la moyenne. Après il faut se dire que c’est du bio. J’ai peut-être regretté qu’il n’y ait pas de « formule goûter » type boisson+gâteau. J’ai oublié de vous préciser que vous pouviez prendre des thés à emporter. Ils vous seront servis dans des boîtes en origami très originales !

Résumé

« Tamatebako»
Salon de thé
Formule petit déjeuner : 5 ou 9€
Thé : 4,9 à 5,9€
Part de gâteau : 4€

 

Ma-Dim : 8h30-19h30
Thés à emporter

Arrêt Musée d’Aquitaine (Tram B)
32 rue Saint James
33000 Bordeaux

05 56 44 90 06

leur site internet

Les ⊕⊕⊕ Les Θ
Personnel attentif et chaleureux
Atmosphère apaisante et agréable
Grands choix de thés bio
Service un peu lent
Plus cher que la moyenne

 

 

Gnocchi au basilic

Je crois que je n’ai plus besoin de vous dire que j’adore le basilic. J’avais 3 malheureuses pommes de terre en en perdition que j’ai décidé de transformer en gnocchis !

Quand je suis passée faire mes courses, j’ai été très déçue par la fraicheur du basilic, alors je me suis rabattue sur du basilic surgelé. J’ai été agréablement surprise par son arôme. C’est une bonne alternative au basilic séché qui a un peu une senteur de foin (selon moi). Là, on est plus proche de l’odeur et du goût du basilic frais. En revanche, les ciselures de basilic sont enveloppé de quelques additifs pour assurer son stockage et sa bonne utilisation. Notamment  de l’huile.

Je vous proposerais bientôt une petite recette sympa à base de saumon et de fromage de chèvre pour les déguster.

Pour 2 personnes :

Ingrédients :

  • 300g de pommes de terre pelées
  • 80g de farine
  • 1 cas de jaune d’oeuf
  • 1/4 cac de sel
  • 4 cas de basilic ciselé (frais ou surgelé)
  1. Préparation de la pâte : placez vos pommes de terre pelées et coupées en gros morceaux dans une grande casserole d’eau froide. Portez à ébullition et comptez 20 min de cuisson. Un couteau dans facilement s’enfoncer dans la chair.
  2. Une fois les pommes de terre cuites, égouttez les et laissez les tiédir.
  3. Ecrasez les avec le basilic à l’aide d’une fourchette pour faire une purée. Elle doit prendre une légère teinte verte à cause du basilic (encore plus verte si vous utilisez du basilic frais).
  4. Ajoutez ensuite le jaune d’oeuf puis la farine avec le sel. Vous devez obtenir une boule de pâte non collante mais très malléable. Au besoin ajoutez de la farine.
  5. Façonnage : divisez la pâte en deux et roulez chaque boule en un boudin d’1cm de diamètre environ.
  6. Découpez ensuite des tronçons de 2cm de long max. Roulez chaque tronçon entre vos mains pour former des petites boules un peu plus grosses que des noisettes mais pas autant que des noix (vive la précision).
  7. Roulez ensuite chacune de ces petites boules sur les dents d’une fourchette à l’aide d’un devis doigts pour former les bandes caractéristiques des gnocchis.
  8. Déposez chaque gnocchis sur une surface bien farinée (ou du papier sulfurisé).
  9. Cuisson : portez un grand volume d’eau salée à ébullition. Plongez y les gnocchis.
  10. Quand ils remontent à la surface égouttez les. Vous pouvez mangez les gnocchis tels quels ou encore les poêler avec un peu de beurre dans une poêle.

Triangle aux amandes

Je reviens sur les viennoiseries françaises avec un de mes péchés mignons (avec la brioche suisse) : le triangle aux amandes ! Il s’agit de pâte à croissant, garnie de frangipane puis pliée de manière à former un triangle. Ils sont souvent parsemés d’amandes effilées sur le dessus et de sucre glace. C’est très proche du Jésuite, qui lui est fait avec de la pâte feuilletée et recouvert de glaçage.

J’ai succombé! Ce n’était pas mes viennoiseries les plus présentables mais leur goût !!!!!! Un moelleux à la limite de la baguette viennoise, un goût et une odeur de beurre sublimes. Et puis le rhum de la frangipane !!! Oh mon dieu ! L’extase. Je ne bois pas du tout d’alcool, mais si je devais m’y mettre sérieusement, je commencerais sans doute avec le rhum (la bière et le baileys aussi).

Pour 6 triangles :

Ingrédients :

Pour la frangipane :

  • 50g de poudre d’amande
  • 50g de sucre
  • 25g de farine
  • 1 oeuf
  • 1 cac de rhum
  1. Préparez la pâte levée feuilletée.
  2. Pendant la première pousse, préparez la frangipane : mélangez les ingrédients secs (farine, poudre d’amande et sucre).
  3. Ajoutez l’oeuf et le rhum puis mélangez bien. C’est plutôt épais normalement..
  4. Placez au frais en attendant.
  5. Faites le feuilletage de votre pâte.
  6. Façonnage : étalez la pâte en un rectangle de 24x36cm.
  7. Découpez ce rectangle en carrés de 12x12cm.
  8. Déposez 1 cac bien bombée de frangipane sur chaque carré.
  9. Badigeonnez les bords de chaque carré avec de l’oeuf battu et repliez la pâte sur elle même pour emprisonner la farce. Soudez bien les bords.
  10. Déposez les sur une feuille de papier sulfurisé en les écartant les uns des autres.
  11. Deuxième pousse : laissez les viennoiseries doubler de volume à température ambiante (comptez 1h à 1h30).
  12. Cuisson : préchauffez votre four à 180°C.
  13. Badigeonnez la surface des escargots d’oeuf battu puis parsemez d’amandes effilées et enfournez pour 15 min.

Chou braisé aux gésiers

Une recette histoire de remettre au goût du jour un légume un peu mal aimé. L’automne et l’hiver sont la pleine saison des choux tous confondus : chou de Bruxelles, chou vert, chou rouge, chou blanc, brocolis, chou fleur, chou romanesco ! Il y en a pleins avec des goûts très variés  !

Je vous propose donc une petite poêlée sympa en guise d’accompagnement, un peu sur le même principe que ma poêlée aux choux de Bruxelles. Ce plat mijote un certain temps pour être sûr sur le chou soit bien digeste. De même n’oubliez pas de blanchir le chou avant de le cuire  comme indiqué dans vos recettes, cela évitera les petits désagréments digestifs. N’hésitez pas à faire appel à votre cocotte minute pour un gain de temps non négligeable.

Pour 2 personnes :

Ingrédients :

  • 1/2 chou vert
  • 1/2 barquette de gésiers confits
  • 3 carottes
  • 1 oignon blanc
  • 1 bouquet garni
  • 1/2 cube de bouillon de volaille ou légumes
  • 20 cl d’eau
  1. Portez un grand volume d’eau à ébullition.
  2. Pendant ce temps : épluchez le chou. ôtez les grandes feuilles abimées puis coupez le en 4 et enlevez le tronc blanc.
  3. Plongez le chou 5 min dans l’eau bouillante puis égouttez le.
  4. Quand il est un peu refroidi, hachez le en lanières.
  5. Emincez l’oignon. Pelez la carotte et coupez la en rondelle.
  6. Dans une grande cocotte, faites réchauffer les gésiers à feu moyen pour faire fondre la graisse.
  7. Ajoutez l’oignon émincé et poursuivez la cuisson 5 à 10 min.
  8. Ajoutez ensuite les carottes, le chou et le bouquet garni. Mouillez avec le bouillon dissout dans l’eau.
  9. Couvrez et laissez mijoter 1 bonne heure. Le chou doit être fondant.

Panna cotta à la noisette et poires pochées au miel

Pour le défi culinaire #9, Séverine du blog Maman ça déborde a choisi le thème très automnal de la noisette. Il vous reste jusqu’au 8 Novembre à minuit pour participer. Par curiosité, j’ai acheté récemment le lait végétal à la noisette de Bjorg. A ma grande surprise, j’ai trouvé ce lait très sucré (comparé à un lait de vache) et cela m’a un peu écoeurée. En revanche, j’ai trouvé le goût de noisette vraiment très présent et authentique. De ce point de vue, c’est un vrai régal.

J’ai choisi d’utiliser ce lait pour faire une panna cotta. J’y ai associée des poires pochées au sirop avec un peu de miel pour la forme. J’ai coulé mes crèmes dans des moules demi-sphère de 7cm Ø. Un peu galère à démouler, mais j’aime bien le rendu. J’avais mis au départ 2 feuilles de gélatine, mais j’ai trouvé le résultat un peu trop ferme et pas assez fondant (c’est peut-être aussi du au fait qu’il y a plus de lait que de crème…) mais du coup, j’ai un peu diminué cette proportion dans la recette que je vous propose.

Pour 2 panna cotta :

Pour la crème :

  • 15cl de lait à la noisette
  • 5cl de crème liquide entière
  • 1 cac de sucre
  • 1/2 cac d’arôme de vanille
  • 1,5 feuilles de gélatine

Pour la présentation :

  • 1 poire (Abate, Williams, Rocha…)
  • 2 noisettes entières
  • 2 cas de miel
  • 2 cas d’eau
  • 1 cas de sucre
  1. Préparez les panna cotta : laissez tremper la gélatine 15 min dans de l’eau froide.
  2. Dans une casserole, mélangez tous les ingrédients restant et portez ce mélange à petit ébullition.
  3. Dès que cela commence à bouillir, retirez la casserole du feu et laissez refroidir quelques instant.
  4. Essorez la gélatine entre vos doigts et ajoutez là au mélange chaud. Elle doit se dissoudre presque instantanément. Mélangez bien.
  5. Remplissez deux ramequins ou verrines avec cette préparation.
  6. Laissez refroidir avant de les placer au réfrigérateur au moins 2h le temps que cela fige bien.
  7. Pendant ce temps, préparez les poires : pelez la poire et coupez la en petits dés.
  8. Portez à ébullition le miel avec l’eau dans une petite casserole.
  9. Quand ce mélange bout, laissez le réduire 5 min puis plongez y les morceaux de poire.
  10. Laissez frémir à  nouveau 5min. Retirez du feu et laissez les poires refroidir dans leur sirop.
  11. Au dernier moment, pour les noisettes caramélisées : faites fondre le sucre en poudre en caramel dans une mini poêle. Piquez les noisettes sur des cure-dents.
  12. Lorsque le caramel est bond, trempez les noisettes dedans puis déposez les sur une feuille de papier sulfurisé. Laissez refroidir avant d’y toucher.
  13. Dressage : démoulez les panna cotta sur leur assiette de service.
  14. Déposez 2 cas de dés de poires par dessus et nappez de sirop. Surmontez d’une noisette caramélisées.

Mac & cheese au potimarron [one pot pasta]

C’est un plat très généreux et gourmand, classique de la société américaine. J’ai tenté deux versions. La première fois, c’était une version un peu traditionnelle au four qui m’a donné quelque chose de trop sec à mon goût. Alors j’ai refait une tentative sur la méthode des One Pan Pasta et le résultat a été beaucoup plus concluant et encore plus rapide à préparer !

Alors, n’attendez plus pour vous mitonner ce bon plat complet, idéal pour vous réconforter ! J’ai écrit « 2 personnes » mais on peut vraiment manger à 3 dessus avec un dessert derrière. Je m’excuse, ce n’est pas très glamour à présenter…

Pour 2 personnes :

Ingrédients :

  • 100g de macaronis ou de torsades
  • 200mL de lait
  • 200mL d’eau
  • 1/2 cube de bouillon de poulet
  • 200g de purée de courge (potimarron, potiron… )
  • 100g de brocolis
  • 50g de fromage râpé (emmental + mozzarella pour moi)
  • 1/4 cac d’ail semoule
  • 1 petit oignon rouge
  • poivre
  1. Emincez l’oignon. Détaillez le brocolis en petites têtes.
  2. Mélangez la purée de potiron avec l’eau et le lait ainsi que le cube de bouillon émietté.
  3. Dans une grande casserole, déposez tous les ingrédients : pâtes, brocolis (sans pré-cuisson), oignon, ail, fromage.
  4. Arrosez avec la purée de courge et mélangez.
  5. Portez à douce ébullition et comptez 10 min de cuisson. En remuant de temps en temps (le fromage fait que cela accroche assez facilement au fond).
  6. Goûtez, rectifiez l’assaisonnement au besoin et savourez bien chaud !

Sandwich à la purée d’aubergine et jambon cru

C’est la deuxième recette que je vous propose pour utiliser les baguettes rustiques tomate-olive que j’ai préparées, il y a peu. Je continue à surfer sur les saveurs méditerranéennes avec cette fois-ci de l’aubergine.

Ce n’est pas vraiment mon légume préféré… Que ce soit niveau goût ou texture, je ne le trouve pas extraordinaire. Je peux en manger mais je n’en tire pas de plaisir particulier. La seule exception est peut-être lorsqu’elle est associée à du jambon cru, comme ici.

C’est du recyclage d’une recette de Chef Nini, mais comme j’aime faire dans la surenchère, j’ai rajouté du parmesan et j’ai fait toaster le tout. Après, vous pouvez très bien manger vos tartines/sandwich telles qu’elles.

Si vous êtes plus poisson que charcuterie, je vous suggère de jeter un oeil à la tartine napolitaine à base d’anchois et de mozzarella.

Pour 1 panini :

Ingrédients :

  • 1 baguette rustique tomate-olive
  • 2 tranches de jambon fumé de la Forêt Noire (il a un goût vraiment extraordinaire)
  • 2 feuilles de salade plutôt croquante (coeur de laitue, iceberg)
  • 15g de copeaux de parmesan
  • 1 aubergine
  • quelques rondelles d’oignon rouge
  • un trait de jus de citron
  • un trait d’huile d’olive
  • poivre
  • basilic séché
  1. Préchauffez votre four à 180°C.
  2. Préparation du caviar d’aubergine : coupez l’aubergine en 2 et incisez sa chair en croisillons.
  3. Badigeonnez d’huile d’olive à l’aide d’un pinceau puis saupoudrez du poivre et du basilic par dessus.
  4. Emballez les aubergines dans de l’aluminium et enfournez pour 30 min. La chair doit être fondante. Au besoin prolongez la cuisson.
  5. Déballez les aubergines de leur papillotes et laissez tiédir.
  6. Raclez la chair avec une petite cuillère puis écrasez la grossièrement avec une fourchette.
  7. Faites chauffer votre presse à panini.
  8. Dressage : coupez la pain en deux. Déposez les feuilles de salade sur la mie puis tartinez de caviar d’aubergine.
  9. Ajoutez des rondelles d’oignon rouge puis le jambon fumé.
  10. Disposez les copeaux de parmesan en dernier.
  11. Enroulez votre sandwich dans du papier sulfurisé (pour protéger votre appareil) et toastez-le dans votre presse pendant 5 à 7 min pour bien réchauffer tous les ingrédients et faire fondre le parmesan.