Variante un peu plus digeste du pain savoyard, cette baguette va vous enchanter avec un oeuf à la coque et une salade verte. C’est un bon moyen de mettre à profit vos restes de raclette plutôt que de rentrer dans le cercle infernal de renouveler les invitations dans l’espoir de finir les derniers morceaux de fromage !
Mais pas de panique, cette recette de pain est sans pétrissage, donc même les novices pourront en mettre plein les yeux à leurs invités.
Dans un saladier, délayez la levure dans l'eau tiède (30°C pas plus). Ajoutez par dessus le sel et les herbes de provence mélangés à la farine. Puis mélangez à l'aide d'une cuillère à soupe ou en bois jusqu'à obtenir une pâte collante et plus ou moins homogène.
Pelez les pommes de terre cuites et refroidies puis coupez les en petits morceaux.
Coupez le fromage en dés.
Faites cuire les tranches de jambon cru (ou du bacon) au microonde pendant 2 à 3 min jusqu'à ce qu'elles deviennent croustillantes. Puis réduisez les en brisures.
Incorporez les pommes de terre, le bacon et le fromage à la pâte à pain. Mélangez à la cuillère pour les répartir dans la pâte.
Laissez reposez la pâte 1h30 dans un endroit tiède pour que la pâte puisse doubler de volume. La pâte va devenir bulleuse et très collante.
Préchauffez le four à 240°C.
Recouvrez un moule à baguette ou à bûche de papier sulfurisé.
Prélevez des morceaux de pâte et déposez les sur le papier sulfurisé pour avoir une répartition plus ou moins homogène.
Saupoudrez la baguette d'un voile de farine et lamez le dessus du pain à l'aide d'une lame de cutter.
Jetez un verre d'eau dans le four (pour créer de l'humidité et avoir une belle croûte) et enfournez la baguette immédiatement et rapidement (pour éviter que l'humidité ne s'échappe).
Laissez cuire 30 min environ. La baguette doit être bien dorée et gonflée.
Les belges sont de grands amateurs de tartines en guise de repas de midi. Mais ce sont aussi des adeptes de la frugalité. En général, le pain est accompagné d’une unique tranche de gouda OU d’une unique tranche de jambon. Pas de sauce, pas de petit cornichon sympa, la feuille de salade qui va bien, c’est le comble de la débauche ! Bref… Moi quand on me dit « tartine », je pense plutôt aux délicieuses bruschettas des italiens ! Un peu comme cette tartine grillée recouverte de mes aubergines marinées aux agrumes, accompagnées de feta, de roquette, de boeuf musqué séché (de la bresaola, sera plus simple à trouver) et de pignons de pin rôtis. Que ce soit comme en-cas ou en guise d’apéro élaboré, ces tartines seront prêtes en un clin d’oeil et vous ferez le plein de saveurs méditerrannéennes avec !
Attention recette riche en fromage en approche ! Cette focaccia est farcie de généreux morceaux de scamorza fumée en plus d’être badigonnée à l’huile de noisette. Heureusement que c’est une recette d’automne qui vient après la saison des maillots de bains !
Je vous conseille cette recette focaccia les yeux fermés. C’est vraiment la meilleure au monde. La pomme de terre apporte énormément de moelleux, que l’on ne retrouve pas avec une pâte classique uniquement à base de farine de blé. Pas de panique pomme de terre, cela fonctionne très bien avec des flocons de purée.
Les gens vont vous harceler pour avoir le secret de votre recette !
Une focaccia moelleuse, parfumée au thym, fourrée de scamorza et surmontée de morceaux de figues fraîches et de noisettes concassées
Type de plat Apéritif, Pain
Cuisine Automne, Italie, Pique-nique, Végétarien
Temps de préparation 20minutes
Temps de cuisson 15minutes
Temps total 1heure35minutes
Portions 8personnes
Ingrédients
Pour la pâte à focaccia
150gfarine
20gflocon de pomme de terre
140geau
10glevure de boulangerie fraiche
1cachuile de noisette
1/2cacsel
Pour la garniture
80gscamorza
1figue
20gnoisette
2branchesthym
Pour la saumure
1cashuile de noiette
1/2cacsel
Instructions
Préparation de la pâte et de la garniture
Dans votre Machine A Pain, versez l'huile et l'eau. recouvrez avec la farine mélangée au sel et aux flocons de pomme de terre. Lancez le programme pétrissage (1h30 = pétrissage + 1ere levée). La pâte va être assez collante.
Coupez la scamorza en petits dés.
Coupez la figue en quartiers.
Concassez grossièrement les noisettes.
Façonnage
Préparez la saumure en mélangeant l'huile d'olive avec l'eau et le sel. Déposez du papier sulfurisé uniquement sur le fond d'un moule rectangulaire de 18 x 30 cm.
Badigeonnez le papier et les bords du moule avec la saumure à l'aide d'un pinceau.
Maintenant que la pâte a doublé de volume, dégazez la.
Versez la moitié de la pâte dans votre moule. Graissez vos mains avec la saumure et étalez la pâte grossièrement (en l'étirant et en appuyant dessus) pour qu'elle recouvre toute la surface du moule
Répartissez les dés de fromage à la surface et parsemez des 3/4 des noisettes.
Recouvrez avec l'autre moitié de pâte. Etirez la bien avec vos doigts pour recouvrir le fromage. Enfoncez les quartiers de figue à intervalles régulier. Parsemez avec le reste de noisettes concassées et les branches de thym.
Couvrez de film étirable et laissez reposer dans un endroit chaud pendant 30 min.
Cuisson
Préchauffez le four à 200°C.
Répartissez le reste de la saumure sur la surface de la pâte à l'aide d'un pinceau. Enfoncez les branches de thym dans la pâte.
Enfournez immédiatement pour 15 min. La focaccia doit être légèrement colorée. Servez tiède ou froid.
Le fromage, c’est ma vie ! Des fromageries géniales, j’en connais à la pelle. Je sais où me rendre pour déguster un bon plateau de fromages que ce soit à Bruxelles ou à Bordeaux. Mais là, je vous parle d’une expérience très différente mais tout aussi délicieuse ! Mamen ne se contente pas de vous servir du fromage, il vous le met en scène ! Ici le fromage est travaillé, cuisiné pour vous proposer autre chose que le fromage à l’état brut.
Alors certes, vous allez pouvoir déguster l’authenticité à travers des planches (petite avec 3 fromages ou grande avec 6 fromages) mais ici, c’est surtout le camembert rôti ou la tartinade au chèvre qui nous intéressent ! Et tout ça en plein coeur de Bruxelles, juste à côté des halles de Saint Géry.
On commence par se détendre au contact du sourire et la bonne humeur de nos hôtes : Julie et Alex. Le lieu est tout en longueur avec une déco assez branchée. C’est comme si mémé avait déménagé sa cuisine à Lisbonne à cause des alfajores bleutés et déplacé ses meubles en bois avec tous ses cadres désuets dans un vieux bistrot parisien ou berlinois. J’adore ce mélange très sophistiqué qui donne malgré tout un look très confortable et accueillant. J’ai craqué sur la porcelaine de service dépareillée !
La lecture de la carte ne fait que vous conforter dans l’idée que vous êtes au bon endroit. Du fromage à perte de plats ! mais habilement réparti entre des plats à partager pour un afterwork convivial, des plats chauds pour une ambiance plus restaurant et des desserts pour la gourmandise ! Globalement, rien de très lourd. On n’est pas sur de la tartiflette, de la raclette ou de la tourte franc-comtoise. C’est composé de manière habile , élégante et fine. Aucun risque de lourdeur en sortant d’ici (sauf si vous avez les yeux plus gros que le ventre comme nous…).
Gourmets que nous sommes avec mes collègues, nous avons sans hésitation opté pour une grande planche de fromages et uen assiette de charcuteries à partager avec un camembert au four. La planche est arrivé très rapidement avec une présentation rendu très alléchant et coloré par les grains de raisins et les morceaux d’oignon nouveau. L’eau m’est montée à la bouche en un clin d’oeil ! Et que dire des effluves du camembert nappé de miel qui ont fini de m’achever !!! Le pain, d’origine biologique et de fabrication artisanal, est adapté et bon. C’est un élément vraiment crucial pour moi en cas de dégustation de fromages. Dans l’idéal, je choisi toujours un pain à la croûte craquante avec une mie élastique et un goût de levain. Les baguettes de tradition sont vraiment ce que je préfère. Ou alors, pour les pâtes dures, j’apprécie un pain de seigle.
La serveuse prend le temps de présenter les fromages du plateau en précisant s’ils sont pasteurisés ou non. J’ai beaucoup aimé l’assortiment de fromages. Ici, nous avions un comté 18 mois, du shropshire, du Bleu de Gex, du Gouda au cumin, une tomme de Savoie, un morbier et du Brillat-Savarin. Il avait un bon équilibre entre fromages doux et forts. Il me manquait juste un petit chèvre pour parfaire le tout mais apparemment, ils s’étaient fait dévaster au cours de la semaine. Le camembert était très agréable. Tremper les morceaux de pommes dans ce magma crémeux est très savoureux !
Curieux, nous avons succombé à la tentation des pâtes au poivre, tournées dans la meule entière de Grana Padano. Comment vous décrire ce régal ? La sauce enveloppe bien les pâtes. Elle est délicieusement relevée par le poivre qui est judicieusement dosé pour ne pas chauffer la bouche. Et puis le prosciutto apporte la touche salée qui magnifie l’expérience.
Par comparaison, j’ai préféré mon expérience chez Mamen à celle chez La Fruitière. Ce concept de Cantine Fromagère m’a plus plu que la fromagerie qui propose ses fromages à la dégustation sur un plateau. D’où mon titre « le fromage sans la crémière ». Pour La Fruitière, je serais plutôt que « Le fromage dans son plus simple appareil » ou « Le fromage à l’état brut ».
Malheureusement ce repaire n’est ouvert que le soir à partir de 17h. Alors on commence le midi par un passage à La Fruitière et le soir, on bouge vers Mamen, pour profiter de l’Happy Hour rosé et de ses merveilleuses idées autour du fromage !
Cette tartinade est toute soyeuse sur la langue et délicatement parfumée d’épices orientales. C’est idéal pour un apéro dinatoire avec des morceaux de pain libanais et des crudités à tremper dedans. Cela remplace également avantageusement le beurre ou la mayonnaise dans un sandwich. C’est un vrai régal avec de la viande grillée !
Vous pouvez choisir deux techniques pour cette recette selon le goût que vous souhaitez obtenir. En faisant rôtir l’aubergine entière au four, la saveur sera très douce. En revanche, vous pouvez couper l’aubergine en deux, badigeonner sa chair d’huile avant de la faire griller au barbecue ou au four. Le caviar aura alors un goût plus grillé voire fumé..
Les noix de cajou apportent de la texture à cette préparation mais ce n’est en rien obligatoire. Pour les épices, j’ai choisi un mélande médiéval qui contient de la cannelle, du gingembre, de la muscade, du clou de girofle et du poivre. Il est nettement moins orienté cannelle qu’un 4 épices. Le ras-el-hanout consitue pour moi une bonne alternative. En ce qui concerne l’huile, j’ai utilisé l’huile d’une conserve de tomates semi-séchées. Elle est parfumée à l’ail, à l’origan et au sel.
Un incontournable des mezze mediterranéens : une tartinade d'aubergine soyeuse à partager lors d'un BBQ ou d'un apéro dînatoire
Type de plat Apéritif
Cuisine Ete, Healthy, Liban, Végétarien
Temps de préparation 5minutes
Temps de cuisson 20minutes
Temps total 25minutes
Portions 2personne
Ingrédients
1aubergine(environ 200g)
10ghuile d'olivearomatisée (ail et origan)
1/4cacorigan
1/8cacherbes de Provence
1/8cac4 épicesmédiéval ou ras-el-hanout
15gnoix de cajou
1/16cacpaprika fumé
Instructions
Préchauffez le four à 200°C.
Piquez la chair de l'aubergine à l'aide d'une fourchette en 3 endroits puis déposez l'aubergine dans un plat à four.
Enfournez pour 20 min. La chair doit se fripper et l'aubergine devenir molle. 5 min avant la fin de la cuisson, ajoutez les noix de cajou dans le plat à four.
Coupez l'aubergine en deux puis raclez la chair à l'aide d'une cuillère.
Déposer la chair avec toutes les épices, l'huile et les noix de cajou grillées. Mixez longuement jusqu'à obtenir un texture lisse.
Rectifiez l'assaisonnement en sel ou poiver au besoin et laissez refroidir avant de servir le caviar.
Parmi les lieux réputés pour leur bonne ambiance le soir à Bruxelles, le parvis saint Gilles se place en bonne position avec sa place piétonne dégagée, ses terrasses animées et son atmosphère grouillante et légère. C’est un endroit prédestiné pour un afterwork décontracté entre collègues en bras de chemise, une bière fraîche à la main. Maintenant je peux aussi vous proposer une version plus trendy-chic, qui sublime la planche apéro avec de la charcuterie et du fromage de qualité et vous étonnera par ses cocktails raffinés. Allez, venez découvrir avec moi ce petit îlot italien, qu’est Cipiace.
Nous sommes arrivés chez Cipiace sur les coups de 19h15, sans avoir réservé. Nous avons patienté un petit quart d’heure pour avoir une place en terrasse et profiter de cette douce soirée d’Octobre. L’intérieur est assez étroit avec une décoration discrète. La terrasse en revanche est plus grande mais pas plus spacieuse pour autant. L’espace est relativement optimisé : une rangée de tables en bois le long de la vitrine, un passage large pour les piétons, deux rangées de tables en fer typique effet mobilier de jardin parisien et une quatrième rangée avec des tonneaux en guise de table. Cela fourmille de partout ! Les serveurs courent à droite et à gauche d’un pas pressé mais avec le sourire enjôleur.
L’atmosphère est plutôt ambivalente. Elle allie à la fois charme parisien et décontraction. Le mobilier de jardin en fer de la terrasse côtoie des tonneaux très bonne franquette. Et les serveurs défilent en chemise blanche et noeud papillon noir mais en pantalon blue jean ! J’ai beaucoup apprécié le fait qu’on nous apporte directement deux grands verres d’eau avec la carte. D’ailleurs puisqu’on parle de la carte, il y a celle des cocktails (avec malheureusement que 2 mocktails proposés) ainsi que celle des plats.
Niveau cocktails vous avez l’embarras du choix : rhum, gin, tequila, vodka etc… Vous trouverez forcément votre base préférée. Mais attendez à beaucoup plus d’exotisme quant aux choix des agréments. Cipiace n’est pas l’endroit pour un banal mojito ou une piña colada. C’est le moment de vous dépayser et de faire rêver vos papilles. Thym, bergamote, fleur de sureau, pain d’épices, vinaigre balsamique … Des extravagances à la pelle mais toujours dosées avec subtilité et harmonie.
J’ai opté pour un Kimono, séduite par l’idée du thé au jasmin et de la poudre de thé matcha. Mon homme s’est fait plaisir avec …. sur les conseils du serveur qui l’a guidé dans son choix avec efficacité après l’avoir brièvement questionné sur ses goûts habituels. Je ne m’attendais pas à une présentation aussi élégante lorsqu’on nous a apporté nos verres. Le choix des verres est audacieux et j’aime la délicatesse d’avoir déposé une pensée. J’ai également apprécié les textures mousseuses de nos deux cocktails. Cipiace utilise apparemment pas mal l’aquafaba (le jus des conserves de pois chiche) dans ses cocktails.
N’étant pas extrêmement affamés, nous avons accompagné nos cocktails d’une sélection de fromages et charcuteries italiennes. Cette mini planche convient très bien pour 2 personnes pour un apéro gourmand ou alors un repas léger (au sens quantité pas calorique bien entendu). Les fromages sont particulièrement intéressants. Ils ont du goût, des textures variées (crémeux, sec et piquant, ferme…). Il me semble avoir eu du taleggio, de la mozzarella, du pecorino au basilic et un parmesan. Pour la charcuterie, que du bonheur encore une fois : jambon de parme ou peut être un San Daniele, bresaola et une sorte de rosette. J’ai adoré le petit confit d’oignon servi avec. Seul bémol, un pain de tradition (française ) avec une mie très alvéolée et un goût un peu fermenté aurait fait un meilleur effet que le pain sans charme que nous avions. Enfin, nous n’avons pas fait de manière. Les portions de fromage sont coupées généreusement. Heureusement que nous avions une petite assiette à côté avec un couteau pour redécouper ces portions aux dimensions appréciables.
Nous avons pu globalement prendre notre temps. A aucun moment les serveurs ne nous ont poussés dehors malgré l’affluence manifeste. Je les ai observé au cours de la soirée et j’ai trouvé que bien qu’un peu débordés, le temps d’attente pour se faire servir n’était pas excessif. Au fur et à mesure, j’ai vu défiler des plats beaucoup plus sophistiqués que notre petite planche. Je reconnais que ma curiosité a été piquée… Je meurs d’envie d’y retourner pour goûter certains de leurs antipasti chauds comme la soupe de rouget sur lit de chicorée et croûton de pain frit ou la Polenta grillée aux champignons des bois, noix et copeaux de pecorino sarde.
C’était une soirée gourmande et magnifique. La qualité des produits n’a d’égale que le prix. En effet, comptez une dizaine d’euros pour un cocktail, 9 à 16€ pour des antipasti et 8€ pour un dessert. Cela peut monter jusqu’à 26€ pour un plat. Mis à part pour les cocktails, les portions sont généreuses et le contenu de votre assiette vaut clairement son prix, donc n’ayez pas de regret à alléger votre bourse dans cet endroit charmant.
Petit détail auquel j’ai été sensible… Les toilettes ont une corbeille avec des protections hygiéniques ainsi que des lingettes intimes. C’est bien la première fois que je vois cela dans un restaurant et je reconnais avoir été touchée de cette délicatesse.
Résumé
« Cipiace »
Restaurant italien & Bar
planche apéro : 13 ou 30€ Antipasti : 9 à 16€ Plats : 17 à 26€ Dessert : 8€
Parvis Saint-Gilles 49A
1060 Saint-Gilles
Lu-Je : 10h-00h Ve : 17h-2h Sam : 10h-2h Dim : 10h15h30
Allez, c’est le moment ! On ouvre la bouteille de Chianti (ou l’apéro Spritz pour les plus branchés), on sort la bonne charcuterie de derrière les fagots fabriquée par Papy Emile, les petites câpres au vinaigre et on fait péter ses gressins home made pour impressionner la galerie, tout en visionnant la Vie est Belle ou le Parrain!
Les gressins, c’est le symbole de l’apéro dans la dolce vita italienne. Le côté hyper croustillant et croquant de ces petits pains allongés et tout ce qu’il y a de plus irrésistible quand il s’agit de se lancer dans le grignotage convivial.
Toutes les variantes sont possibles : nature, au parmesan, au pavot,à la tapenade, aux herbes … Bref toutes vos fantaisies peuvent y passer. Ici, j’ai choisi une version sésame (huile de sésame+ graines) qui rappelle un peu le goût des céréales Smacks (mais si ! les céréales de blé soufflé caramélisés).
J’ai fait confiance à la recette de Un Déjeuner de Soleil, qui m’a bien convaincue !
Des bâtonnets ultra croustillants avec un bon goût de céréales grillées. Parfait pour un apéro enseillé façon Dolce Vita.
Type de plat Apéritif, Pain
Cuisine Italie
Temps de préparation 45minutes
Temps de cuisson 15minutes
Temps total 2heures
Portions 24gressins
Ingrédients
Pour la pâte
250gfarine
13cleau
1cashuile de sésame
6glevure de boulangerie fraiche
3gsel
Pour l'enrobage
50gsésame
huile de sésamefacultatif
oeuf battufacultatif
Instructions
Préparation de la pâte
Dans la machine à pain, délayez la levure dans l'eau. Ajoutez l'huile , puis recouvrez avec la farine mélangée au sel.
Lancez le programme de pétrissage (1h30 = 20 minutes de pétrissage + levée)
Façonnage
Divisez la pâte en 3 pâtons puis étalez un pâton en un rectangle de 1cm d'épaisseur.
À l’aide d’un couteau, coupez de longues lamelles de 1 cm de large.
Plusieurs options pour le façonnage :
1- Etirez chaque petit boudin de pâte
2- Roulez les sur le plan de travail recouvert de graines de sésame pour les allonger
3 - Repliez le boudin en deux sur lui même et entortillez les branches l'une autour de l'autre en étirant légèrement pour allonger
Badigeonnez les boudins d'huile de sésame ou d'oeuf battu avant de les roulez dans le sésame.
Déposez les boudins enrobés sur une feuille de papier sulfurisé.
Préchauffez le four à 200°C et enfournez pour 10 à 15 min. Les gressins doivent gonfler et dorer.
En feuilletant mon livre de cuisine Vegan de Marie Laforêt (offert par mon partenaire NaturaSens), je suis tombée sur cette idée de rouleau de courgette. A l’origine, les lamelles de courgette sont légèrement poêlées, mais l’idée d’avoir quelque chose de très croquant m’a incitée à garer les courgettes crues.
Cela fait des tapas sympa et assez légères pour l’apéro. Pour le coulis de poivron, vous pouvez le préparer vous même en grillant des poivrons au four ou alors le remplacer par de la sauce tomate.
Je ne connais rien qui part plus rapidement à l’apéro que ces minis croissants !! C’est très rapide à faire, donc cela convient tout à fait pour les buffets ou les grands repas de famille comme Noël (pourquoi ne pas imaginer à l’occasion une version au saumon fumé et sauce béarnaise ?). C’est mon amie Dounia qui m’a initiée à ces petites cochonneries. C’est tellement simple à faire, que les enfants participeront avec plaisir. Et puis vous pouvez varier les goûts à votre convenance ! Dounia nous les fait souvent l’indémodable jambon-gruyère. Je vous propose une version plus fruitée au pesto.
Pour 16 croissants :
Ingrédients :
1 pâte feuilletée
3 tranches de jambon
2 à 3 cas de pesto
2 cas de parmesan râpé pour saupoudrer
1 oeuf battu pour la dorure
Préchauffez votre four à 210°C.
Etalez votre rouleau de pâte feuilletée et divisez la en 16 triangles. Vous pouvez vous aider d’une règle et d’une roulette à pizza.
Coupez les tranches de jambon en 6 triangles chacune.
Etalez un peu de pesto sur chaque triangle de pâte feuilletée puis recouvrez d’un triangle de jambon.
Roulez chaque triangle sur lui-même en partant de la base pour aller vers la pointe pour former un croissant et déposez sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé.
Badigeonnez les d’oeuf battu à l’aide d’un pinceau puis parsemez les avec un peu de parmesan râpé.
Enfournez pour 20 min. Les croissants doivent être bien dorés.