C’est du pur hasard si ce crumble et sans gluten et vegan. J’ai voulu faire un dessert très intense en amande … Résultat j’y ai mis de l’amande sous toutes ses formes : poudre d’amande, beurre d’amande et amande effilée ! Donc pas besoin ni de beurre, ni de farine… Avec un dessert pareil, qui prend autant soin de vous, vous devriez avoir la pêche ! Vous allez être bien rassasiés et faire le plein de magnésium ! C’est une recette anti-déprime du tonnerre.
Je trouve indispensable de marier les abricots à un autre fruit beaucoup moins acide. C’est pourquoi j’y ai rajouté de la pomme, bien que ce ne soit pas vraiment la saison. Qui plus est, en dehors du fait que je ne conçois pas un crumble sans pomme, j’aime retrouver leurs morceaux encore légèrement croquants.
Pour 2 personnes :
Pour le crumble amande :
60g de poudre d’amande (4 cas bombées)
80g de purée d’amande (ou beurre d’amande)
15g de sucre complet de cannes
2 sachets de sucre vanillé (15g)
Pour les fruits :
4 abricots (200g)
1/2 pomme (80 à 100g)
2 cac d’amandes effilées
Préchauffez le four à 180°C.
Préparez le crumble : mélangez la poudre d’amande avec les sucres puis amalgamez avec le beurre d’amande.
Pelez la pomme et coupez la en dés. Coupez également les abricots en dés.
Dressage : déposez les fruits dans deux cassolettes.
Recouvrez avec le crumble à l’amande et parsemez d’amandes effilées.
Enfournez pour 20 à 30 min selon la coloration que vous souhaitez.
Dégustez tiède avec de la chantilly (pas très vegan) ou de la glace à la vanille (rarement vegan aussi).
Cette recette traditionnelle bretonne est bien pratique pour écouler des jaunes d’oeuf ! Il s’agit d’une sorte de gros sablé très épais au bon goût salé. Comme pour un kouign aman, les quantités de farine, beurre et sucre sont très généreuses ! En revanche, il ne réclame aucun savoir-faire particulier.
Il existe des variantes fourrées à la confiture de framboise ou de pruneaux (un peu comme un gâteau basque). Je me suis fait la réflexion qu’il pourrait être délicieux avec des zestes de citron ou des pépites de chocolat au caramel. On le sert coupé en petits losanges. C’est très agréable avec le café ou le thé.
Pour 4 personnes :
Ingrédients :
115g de farine
80g de beurre
70g de sucre (dont 1 sachet de sucre vanillé)
2 jaunes d’oeuf
1/2 cac de sel
1 pointe de couteau de levure chimique
Préchauffez le four à 220°C.
Fouettez les jaunes avec le sucre sans les blanchir.
Ajoutez le beurre pomade et fouettez jusqu’à obtenir un mélange crémeux et lisse.
Ajoutez enfin la farine mélangée au sel et à la levure. Vous devez obtenir une boule de pâte lisse et homogène.
Beurrez un moule à manqué de 16cm de diamètre (ou 2 cercles à pâtisserie de 9cm).
Tassez la pâte dedans (260g de pâte environ).
Badigeonnez la surface d’oeuf battu et tracez un motif en forme de croisillon avec les dents d’une fourchette.
Enfournez pour 15 min 220°C puis baisser à 180°C et poursuivez la cuisson 15 à 20 min. Le gâteau doit être bien doré et sablé.
Vous avez apprécié les mozzarella sticks ? Vous avez aimé les sticks de feta à l’olives ? Alors vous allez adorer ces beignets de feta panés de sésame, servis arrosé de miel aromatisé à la cannelle et à la badiane. Ajoutez à cela une petite sauce à base de fromage blanc, de menthe et d’estragon relevé par une pincée de poivre 5 baies et vous voici avec de la super finger food pour l’apéro foot de ce soir !! Grand avantage, vous pouvez paner votre feta à l’avance et congeler les beignets. Il ne vous restera alors plus qu’à les passer directement au bain de friture quelques minutes avant de les servir.
Préparez la sauce : mélangez tous les ingrédients SAUF le miel ensemble. Réservez au frais.
Préparez les beignets : coupez la feta en 4 bâtonnets.
Roulez la dans la farine, puis plongez la dans l’oeuf avant de la rouler dans le sésame. Tapotez doucement avec vos doigts pour faire adhérer le sésame correctement.
Déposez sur une feuille de papier sulfurisé. A ce stade, vous pouvez congeler les beignets.
Faites chauffez votre bain de friture.
Lorsqu’il est bien chaud, plongez les beignets dedans. Comptez 5 minutes de cuisson. le sésame doit être doré.
Egouttez sur du papier absorbant.
Nappez de miel lorsqu’ils sont chauds et servez avec la sauce au fromage blanc.
Les participantes :
Soulef du blog Amour de Cuisine avec des demi-lune aux grains de sésame et tahini
Je suis devenue totalement accro à cette recette, que ce soit dans sa version IG bas ou normale. C’est totalement régressif et si rapide à faire qu’il fait son apparition presque 1 semaine sur deux chez moi… Un minuscule quart d’heure vous sépare de la dégustation en incluant le temps pour qu’il refroidisse un peu ! C’est vraiment le pied pour combler une envie FURIEUSE de chocolat !
Attention, IG bas ne veut pas dire allégé ! Comptez toujours 270 kcal/part (pour 8 parts). Ici, l’intérêt est de permettre une assimilation plus progressive des sucres et donc limiter le stockage du sucre en graisses, lié à l’apparition d’un pic de glycémie intense. Je l’avais repéré sur le blog de Séverine (Maman, ça déborde) qui tient cette recette du blog La Bonne Popotte de Sandra.
Pour 8 personnes :
Pour la version IG bas :
200 g de chocolat
60 g de miel d’acacia
60 g de sucre de canne complet
40 g de farine d’épeautre T130
50 g de fromage blanc
30 g de purée d’amandes complète
3 oeufs
Pour la version normale :
200 g de chocolat
60 g de miel
60 g de sucre
40 g de farine T55
50 g de fromage blanc ou yaourt épais
30 g de beurre, beurre de coco ou margarine
3 oeufs
Faites fondre le chocolat au micro-onde avec le beurre.
Ajoutez les oeufs avec le miel et le fromage blanc et fouettez bien.
Enfin ajoutez la farine et le sucre.
Versez le tout dans un moule en silicone de 18 cm de diamètre.
Faites cuire au micro ondes 3 à 4 minutes à 800 W.
Laisser tiédir.
avant cuisson
2 min de cuisson
3 min de cuisson (1ere bulles)
Petite info complémentaire :
La pâte ne sera pas liquide. Elle va prendre en masse pendant la préparation, presque comme une ganache. Je l’ai tassée et lissée à la spatule dans le moule. Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas grave, le résultat sera génial …
J’ai choisi un poule de 18 cm de diamètre, là où tout le monde en prend un de 24 cm. Le gâteau est plus épais et encore plus fondant.
Pour la cuisson, j’ai donné un temps indicatif. C’est à vous de tâtonner avec votre matériel pour trouver le temps adéquat. Au fur et à mesure de la cuisson, des petites bulles apparaissent à la surface (comme les trous des vers de sable sur la plage à marée basse ^^). Qui plus est, je préfère quand c’est vraiment très fondant limite liquide alors je surveille cela de très près …
Que vous utilisiez des ingrédients IG bas ou pas ne changera pas grand chose sur l’impact calorique. J’ai fait les calculs et la différence est minime.
L’association culturelle bordelaise Tout Art Faire a organisé la semaine dernière une conférence sur Le vin romain et la cuisine d’Apicius animée par Aurore Saint-André, doctorante en histoire de l’art antique. Au cours de cette conférence, nous avons été initié à la gastronomique romaine : quels étaient les mets et les aliments de l’époque ? comme étaient-ils cultivés et comment s’approvisionnait-on ? comment étaient-ils cuisinés et avec quels ustensiles ? comment mangeait-on ? etc …
A la fin, nous avons été invité à déguster des mets typiquement romains, contenant des produits phares incontournables de l’époque, tels que le miel ou le garum (sorte de sauce nuoc-mâm). A mon grand étonnement, la cuisine romaine antique faisait dans le sucré-salé systématique ! Je vous propose donc aujourd’hui une première recette tirées de De re coquinaria, un des écrits de Marcus Gavius Apicius. Il s’agit de morceaux de melon et de pastèque macérés dans un jus à base de vin jaune doux, de miel, de poivre et de menthe poivrée. C’est un peu particulier mais bien relevé et frais ! N’hésitez pas à ajuster les dosages.
Dans une saladier mélangez tous les liquides et les épices.
Ajoutez les fruits et laisser macérer plusieurs heures au frais.
Servez bien frais.
Petite info complémentaire :
J’ai vu d’autres recettes où les fruits étaient portés à petite ébullition 3 à 5 minutes avant que le mélange ne soit laissé à macérer et refroidir.
Je vous conseille vivement de suivre la page Facebook de l’asso Tout Art Faire, afin de vous tenir au courant de leurs évènements. La programmation est très variée et regorge de conférences, visites, balades à vélo, expositions, afterwork patrimoine, concerts et ateliers tous plus enrichissants les uns que les autres. Qui plus est, tout est animé par des intervenants qualifiés et experts dans leur domaine.
Au départ, j’étais partie dans l’idée de réaliser un entremet saveur mojito pour notre repas d’équipe au laboratoire. Je voulais quelque chose de très frais et léger. Malheureusement, mes compétences culinaires n’étaient pas optimales à mon retour des Eurockéennes et ce fut un échec absolument pas présentable (même si après l’avoir goûté le soir, je l’ai trouvé pas mauvais !). Dans le coup, j’ai eu besoin d’une solution de repli fissa et inratable.
Ca a donc fini en un moelleux aux mêmes saveurs : une lichette de rhum, de la menthe fraîcheciselée et de beaux zestes de citron vert. C’est la troisième fois que je tente cette recette (en variant simplement le goût) et c’est à chaque fois une grande réussite en terme de moelleux et de bombé ! La croûte fine et dorée n’est pas la plus appétissante du monde, mais elle cache un coeur absolument terrible !
Je n’ai pas eu le temps de préparer un glaçage à base de rhum (inspiré du Gâteau Nantais) parce que mon gâteau venait tout juste de sortir du four quand j’ai du partir. Mais sinon j’aurais peut-être tenté. En tout cas, cette recette est parfaite : pâte prête en 5 min avec le minimum d’ustensiles (saladier et fouet voire même une simple spatule ou cuillère en bois), un moule avec à la clé un résultat bluffant, idéal pour le goûter !
Pour 12 personnes :
Pour le gâteau :
300g de farine
150g de sucre (75 blanc + 75 cassonade)
300g de lait ribot
50g d’huile
2 oeufs
5cl de jus de citron vert (1 à 2 citrons verts)
1 cas de zeste de citron vert
1 cac de bicarbonate de soude
1 cas de rhum
15 à 20 feuilles de menthe fraîche
Pour le glaçage :
1/4 cac de rhum (1cl)
1/4 cac de jus de citron vert (1cl)
50g de sucre glace
Préchauffez votre four à 180°C.
Prélevez les zestes des citrons vert et hachez les finement. Ciselez la menthe en lanières.
Préparez le gâteau : Mélangez les ingrédients secs d’un côté (farine, sucres, zeste, menthe, bicarbonate) et les humides de l’autre (oeuf, lait, huile, jus de citron vert et rhum).
Fouettez les deux préparations ensemble jusqu’à obtenir un mélange lisse.
Versez la pâte dans un moule de 22 cm de diamètre.
Faites cuire 45 min environ en couvrant à mi-cuisson d’aluminium si nécessaire. Une pique plantée au coeur du gâteau doit ressortir sèche.
Laissez refroidir sur une grille.
Glaçage : mélangez tous les ingrédients ensemble. Au besoin ajoutez un peu de sucre glace pour obtenir une texture assez épaisse mais néanmoins fluide.
Nappez ou zébrez le gâteau avec une fois qu’il est bien froid.
Petite info complémentaire :
Je n’avais plus de lait ribot, alors j’ai pris 280g de lait, ajouté le jus de citron dedans et laissé reposer 15 min avant de l’utiliser.
Ce restaurant passe inaperçu et pourtant il est situé dans la très fréquentée et célèbre rue ste Catherine ! Enfin plus exactement sur la place du Général Sarrail qui est juste après la Victoire. Si le restaurant a l’air petit à première vue, il peut accueillir en réalité plus d’une cinquantaine de convives, notamment grâce à son arrière salle. La décoration est minimaliste mais l’ensemble est très propre et simple. J’aime beaucoup les murs en pierre apparentes. C’est agréable d’être confortablement attablé sur leurs chaises/fauteuils.
La carte est composé de plats de saison, réalisés avec des produits du marché. Fait sympathique : elle est renouvelée régulièrement. Par ailleurs, c’est très varié : du poisson, de la viande, des fruits de mers, des burgers… Il y a vraiment de tout et il est impossible que vous ne trouviez pas votre bonheur. Vous pouvez optez pour un menu complet (entrée+plat+dessert) à 26€ ou un menu en deux temps (entrée+plat ou plat+dessert) pour 22,5€.
gaspacho de tomate avec gambas poelée
nems d’agneau
saint jacques au velouté de champignon
Comme nous étions un groupe important, la carte avait été réduite à 3 entrées, 3 plats et 3 desserts au choix. Pour ma part, j’ai été totalement enchantée par le contenu de mon assiette. Je m’étais contentée d’un simple menu Plat + Dessert et c’était largement suffisant, étant donné que les plats sont extrêmement copieux ! Comment vous dire ?! Je n’en pouvais plus arrivée aux 3/4 de mon burger qui contenait 2 aiguillettes de canard, une tranche de foie gras poêlée, des oignons confits, du fromage (en assez petite quantité) et de la salade… En y repensant, j’aurais bien rajouté des pommes poêlée avec les oignons confits… ou des baies … Vraiment, je ne m’attendais pas à un tel gruger ! J’ai beaucoup apprécié sa forme oblongue qui change des classiques burgers circulaires en forme de tour ! Le pain était particulièrement moelleux. Mais c’est vrai que c’est très bourratif à la longue. Ce qui ne m’a pas empêchée d’en savourer chaque miette et de faire une place pour le dessert.
J’ai eu plusieurs retour sur le risotto au parmesan, comme quoi il était assez fort en goût. N’ayant pas goûté par moi-même, je ne sais pas trop quoi vous dire. Mais les morceaux de poissons m’ont fait l’effet d’être eux aussi très généreux. La présentation était également très alléchante.
Oh mon dieu ! J’ai oublié de vous parlez des frittes qui accompagnaient le burger ! De vraies frites de pomme de terre, découpées en quartiers bien épais avec leur peau et savamment dorées. Je me suis régalée. Là encore, hors de question d’en laisser une seule de côté !
Merlu poché avec risotto au parmesan
burger de canard et son pain brioché au foie gras
Brochette de st jacques au chorizo avec risotto
J’ai également été impressionnée par la rapidité du service Nous étions un groupe très nombreux et j’ai trouvé que le service s’était déroulé de manière très fluide et sans anicroche. Bien sûr, les plats arrivaient par type et nous n’étions pas tous servis en même temps mais face à notre grand nombre j’ai trouvé cela bien géré. Donc, je pense que vous pouvez bénéficier d’un service très efficace pour une « tablée normale ».
Coulant au chocolat, glace au spéculoos
Niveau dessert, je me suis bien évidemment laissée séduire par le coulant au chocolat et sa glace au spéculoos. Il était particulièrement réussi avec un goût de chocolat délicieux. En revanche, la glace au spéculoos m’a parue très fade. J’aurais plutôt dit qu’il s’agissait d’une glace à la vanille sur un lit de brisures de spéculoos. Mais bon, tout l’intérêt résidait dans le fondant alors pas de quoi amoindrir ma satisfaction globale !
J’ai énormément apprécié mon repas dans ce restaurant. Je pense y retourner sans problème. C’est le genre d’endroit parfait pour emmener sa belle-famille, si elle apprécie la cuisine traditionnelle réalisée à partir de produits de qualité. Qui plus est, les portions généreuses et leurs présentations travaillées en font un lieu de choix. Le rapport qualité-prix est vraiment très intéressant ! On est dans la même veine que l’EntrePôte mais avec une cuisine plus élaborée.
Résumé
« L’Escorial »
restaurant traditionnel
Menu (E+P+D) : 26€
Menu (E+P ou P+D) : 22,5€Ma-Sam : 12h-14h
et 20h-22
Dim : 12h-14h
et 19h-22
Arrêt Victoire (Tram B)
31 rue des Augustin
33000 Bordeaux
J’ai rencontré Alice du blog Les P’tits Biscuits lors du Shake Well Festival. Nous animions toutes les deux le stand Lesieur le vendredi après-midi. Elle avait préparé des cupcakes tomate-pesto. Comme j’ai clairement adoré sa recette (alors que j’ai tendance à trouver les cupcake bourratif, gras, écoeurant et étouffe-chrétien), j’ai voulu tenter une variante à base de chou pour un petit pique-nique à mon laboratoire…
Des petites bouchées au goût frais et j’irais même jusqu’à dire fruité ! De quoi faire le plein de soleil et de saveurs italiennes ! Des petits choux surmonté d’un craquelin tout vert au parmesan et au basilic, garni d’une ganache ultra crémeuse au fromage frais et pesto rosso ! Ils ont été très apprécié par mes collègues.
Préparez le craquelin : travaillez le beurre en pommade avec le basilic et le colorant, jusqu’à obtenir une pâte verte.
Ajoutez la farine avec le parmesan râpé. Travaillez la pâte jusqu’à l’amalgamer et former une boule homogène.
Etalez cette pâte entre 2 feuilles de papier sulfurisé sur une épaisseur de 2 à 3 mm max.
Détaillez des cercles de 2 à 2,5 cm de Ø. Vous pouvez remettre la pâte en boule et la rétamer, jusqu’à l’épuiser complètement.
Placez les cercles de craquelin au congélateur jusqu’à utilisation.
Préchauffez votre four à 180°C.
Préparez la pâte à choux : faites bouillir le lait avec le beurre et l’eau.
Quand le mélange bout, ajoutez la farine d’un coup et fouettez énergiquement à la spatule en laissant la casserole sur le feu.
Continuez de mélanger jusqu’à ce que la pâte se décolle des parois. Poursuivez la cuisson encore 2 ou 3 minutes pour bien faire sécher la pâte.
Transvasez la pâte dans un saladier puis ajoutez les oeufs un à un en les incorporant totalement avant d’ajouter le suivant. La pâte doit devenir collante.
Dressage : à l’aide d’une cuillère, déposez des tas de pâte de la taille d’une petite noix sur une feuille de papier sulfurisé en les espaçant de quelques centimètres.
Appliquer un disque de craquelin sur le dessus de chaque tas, en appuyant doucement pour que la pâte déborde légèrement du diamètre du cercle de craquelin.
Enfournez pour 20 min. Les choux doivent être bien gonflés et dorés.
Laissez refroidir totalement les choux avant de les garnir.
Garnissage : mélangez le pesto rosso au fromage frais (à l’aide d’une spatule ou d’un fouet).
Coupez partiellement les choux à l’aide d’une paire de ciseaux pointus sous le craquelin mais sans le détacher complètement (comme une boîte de conserve).
Déposez l’équivalent d’1/2 voire 3/4 de cac de ganache au centre du chou et rabattez le couvercle (ni vu ni connu).
Réservez au frais en attendant le service.
Petite info complémentaire :
Autre solution pour garnir les choux : remplissez une poche à douille avec la ganache au pesto rosso. Percez un petit trou sur la sole du chou, glissez l’embout de la poche à douille dedans et pressez jusqu’à le remplir.
C’est une reprise d’un magnifique salade vu sur le blog Cuisine moi un mouton. J’ai utilisé pour la faire mes gnocchis à la vanille et fève tonka que j’ai fait frire pour qu’ils soient bien croustillants. A cela ne s’ajoute que des bonnes choses : du jambon sec espagnol, des tomates cerises, des figues (un peu tôt, c’est vrai), des cerneaux de noix croquants et du Valençay bien sec (un fromage de chèvre cendré en forme de pyramide).
Jean d’Alos propose ses fromages de chèvre devenus ultra secs à moitié prix. C’est absolument génial si vous voulez faire des copeaux comme moi dans cette recette.
Faites chauffez votre friteuse ou un grand volume d’huile.
Coupez les figues en quartier et le jambon sec en lanières.
Concassez grossièrement les noix et râpez le fromage en copeaux à l’aide d’un économe.
Faites frire les gnocchis congelés dedans pendant 3 min, le temps qu’ils soient agréablement dorés.
Egouttez les sur du papier absorbant.
Dans un grand saladier, déposez tous les ingrédients dans l’ordre de la liste.
Mélangez la moutarde avec le miel et nappez-en la salade avant de la servir !
Ils ont testé :
Corinne de Mamou & Co avec « une salade sucrée-salée qui met parfaitement en valeur la douceur de ces gnocchi vanille et fève tonka » elle a eu la bonne idée de les marier avec des abricots et de la gelée de piment !