Pour sortir des recettes traditionnelles de Pâques avec son gigot de 7 heures, je vous suggère cette recette italienne qui mêle de manière surprenante saveurs marines et saveurs terrestres (étrange comme formulation). Plus sérieusement, l’agneau est mijoté dans une sauce aux anchois généreusement relevée d’ail et de thym.
Pour cause d’un quasi non droit de séjour dans ma cuisine, la (voire les deux) gousse d’ail fraîche requise pour cette recette, s’est transformée en une très modeste quantité d’ail semoule. Mais si vous êtes un grand amateur ou que vous avez envie de repousser d’éventuels vampires de votre connaissance, cédez à la tentation et prenez de l’ail frais !
Pour un plat familial, multipliez les proportions par 3 et transformez cette recette en poêlée, en choisissant de l’épaule d’agneau (environ 600g) coupées en dés. Le résultat sera un peu comme un boeuf bourguignon à l’italienne en version mouton (hérésie !!!).
Un mijoté d'agneau typique de la cuisine romaine qui surprend par sa sauce sirupeuse à base d'anchois, d'ail, de thym et de vin rouge.
Type de plat Agneau
Cuisine Italie, Pâques
Temps de préparation 5minutes
Temps de cuisson 25minutes
Temps total 30minutes
Portions 2personnes
Ingrédients
2côtelette d'agneau
3anchois( 5 à 10g)
50mLbouillon de boeuf
50mLvin rouge
10olive noire(30g)
1/3cacail semoule
1/3cacsucre
1/2cacmaïzena
1branchethym
Instructions
Coupez les olives noires en rondelle.
Déposez dans le bol d'un blender : les anchois, l'ail, le thym effeuillé, le sucre, le bouillon et le vin. Mixez longuement pour obtenir une sorte de sauce un peu épaisse.
Dans une poêle, faites revenir à feu vif les côtelettes jusqu'à ce qu'elles soient bien dorées des deux côtés.
Mouillez avec la sauce aux anchois et laissez mijoter à couvert pendant 15 min.
Retirer le couvercle, ajoutez les olives et la maïzena. Mélangez bien et laissez réduire la sauce pendant 5 min.
Servez bien chaud avec du persil et de la purée de pomme de terre.
Ca y est !!! La saison des fraises commencent avec la gariguette qui pointe le bout de son nez sur les étals des marchés ! J’en rêvais !
Alors pour fêter l’arrivée du printemps et de ses premières températures clémentes et ensoleillées, je vous propose ce petit crumbcake que j’ai vu comme une déclinaison du cake Ispahan, aux notes de roses, de framboise et de litchi de Pierre Hermé. Ici, on reste dans l’esprit fruits rouges mais avec un mélange de fraises et de framboises (principalement parce que j’ai mangé la moitié de ma barquette de fraises à la croque et qu’il ne m’en restait plus suffisamment pour la compotée). On garde la base moelleuse mais en la parfumant avec la délicate saveur de l’eau de rose. Enfin on recouvre le tout avec un crumble au goût tout aussi exotique de noix de coco !
C’est un gâteau qui incite au voyage et aussi à cuisiner de saison, comme le suggère Claudine avec sa brillante initiative collective !
Une base irrésistiblement moelleuse aromatisée d'eau de rose, une compotée printanière et acidulée de fraises et de framboises et un crumble croquant à la noix de coco ! La promesse d'un régal sans limite !
Type de plat Dessert
Cuisine Girly, Printemps
Temps de préparation 20minutes
Temps de cuisson 45minutes
Temps total 1heure5minutes
Portions 6personnes
Ingrédients
Pour la base moelleux
120gfarine
75gsucre
60gbeurre mou= margarine
40glait
1,5oeuf
3/4caclevure chimique
1caceau de rose
Pour la compotée de fruits rouges
125gfraise
125gframboise
2cac poudre à flan vanille(qui contient du sucre) = 5g
Pour le crumble coco
50gfarine
20gnoix de coco râpée
35gbeurre de coco
35gcassonade
Instructions
Préparez la compotée
Dans une casserole, faites cuire à couvert les fraises coupées en 4 avec les framboises pendant 10 à 15 min.
Ajoutez la poudre à flan, mélangez bien en écrasant grossièrement les fruits et laissez épaissir 5 min.
Retirez du feu et laissez tiédir.
Préparez le crumble
Mélangez la farine avec la coco râpée et le sucre. Sablez à la main avec le beurre de coco jusqu'à ce que la pâte s'amalgame et forme de grumeaux.
Préparez la pâte
Préchauffez le four à 180°C.
Travaillez le beurre mou avec le sucre. Ajoutez ensuite les oeufs et l'arôme de vanille.
Incorporez ensuite la farine et la levure et terminez par assouplir la pâte en ajoutant le lait. Vous devez obtenir une pâte lisse et épaisse.
Dressage
Beurrez et farinez un moule rond de 16 cm de diamètre.
Versez la pâte au fond et lissez sa surface. Recouvrez la avec la compotée fraise-framboise puis couvrez l'ensemble de petites mottes de crumble de manière à presque cacher toute la compotée.
Enfournez pour 45 min environ. Le gâteau va gonfler et doit être cuit à coeur.
A défaut de vous avoir concocté un menu de Pâques, je vous propose une recette à base d’oeuf poché qui sera idéale pour un brunch. Il s’agit d’un oeuf poché couché sur un lit de purée de panais, entouré d’asperges vertes et de bacon et nappé d’une sauce au roquefort. C’est léger, complet et printanier.
verdict après dégustation : c’était bon ! L’équilibre des saveurs était nickel ! et Intéressant en plus ! Même la variété de textures ! TOUT ! Un sans faute sur toute la ligne. Sauf que j’ai mangé froid, le temps de tout préparer et de prendre les photos ^^
C’est bien la première fois que je réussis un oeuf poché (d’habitude je triche en proposant un oeuf mollet). J’ai suivi la méthode présentée par Chef Simon.
Oeuf poché sur purée de panais, asperges et bacon, sauce au roquefort
Un oeuf poché couché sur un lit de purée de panais, entouré d'asperges vertes et de bacon et nappé d'une sauce au roquefort, pour faire du brunch un moment de pur régal.
Type de plat Brunch, Léger, Oeufs et ses déclinaisons, Plat principal
Cuisine Printemps
Temps de préparation 20minutes
Temps de cuisson 20minutes
Temps total 40minutes
Portions 2personnes
Ingrédients
2oeuf
4tranchesbaconfumé pour petit-déjeuner
8asperge verte
150gpanais
75gpomme de terre
1/4caccoriandre en poudre
50groquefort
5cllait
1/8cacpoivre
Instructions
Préparation de la purée et des asperges (préparable à l'avance)
Faites cuire les asperges 5 min dans de l'eau bouillante salée avec une généreuse pincée de bicarbonate pour les garder bien vertes. Egouttez les et plongez les dans de l'eau glacée pour stopper la cuisson. Réservez
Pelez le panais et les pommes de terre. Faites les cuire 15 à 20 min dans de l'eau bouillante. Egouttez les puis écrasez les en purée à l'aide d'une fourchette. Passez un coup de mixeur pour lisser la purée. Ajoutez la coriandre en poudre et mélangez bien.
Dans une poêle, faites revenir le bacon à feu vif jusqu'à ce qu'il soit bien doré et croustillant.
Préparez la sauce (préparable à l'avance)
Ecrasez le roquefort à la fourchette avec le lait et un peu de poivre. Mettez cette préparation à fondre à feu doux dans une petite casserole. Mixez ou fouettez bien pour lisser.
Cuisson des oeufs pochés (au dernier moment)
Portez de l'eau avec une pincée de sel et 1 cas de vinaigre blanc à ébullition. Quand l'eau bout franchement, baissez le feu pour avoir un léger frémissement régulier.
Cassez les oeufs dans un bol chacun, approcher un premier bol de l'eau pour y faire glisser l'oeuf.
A l'aide de deux cuillères à soupe, ramenez le blanc sur le jaune pour l'emprisonner. Pincez les bords du blanc entre les deux cuillères pour les souder.
Egouttez l'oeuf à l'aide d'un écumoir. Le blanc qui doit être ferme, élastique mais non caoutchouteux. Ebarbez l'oeuf au besoin et recommencez avec le deuxième.
Dressage
Disposez 2 tranches de bacon par assiette.
Déposez à côté un tas de purée de panais dans chaque assiette. Coupez les asperges en deux dans le sens de la longueur et entourez la purée avec.
Déposez un oeuf poché sur chaque tas de purée et nappez avec la sauce au roquefort. Servez immédiatement.
Opération des dents de sagesse, dit manger mou… quitte à retourner au régime alimentaire d’un bébé autant se faire plaisir. Je me suis donc lancée dans une mousse au chocolat au Baileys. J’ai dérivé la recette de mousse allégée au chocolat Guanaja d’une création Valhrona, comme a pu le faire avant moi Anne du blog Nana et Chocolat.
Bon, avec la gélatine (j’avais mis une demie feuille pour mes proportions), la texture est vraiment très ferme (du coup, parfaite pour un entremet, vous pouvez la façonner à la poche à douille) et à ma grande surprise un peu farineuse (euh… mais pourquoi ?! je ne pense pas que ce soit le Baileys)… Du coup, ce n’est pas ce que j’ai trouvé le plus agréable en bouche (surtout comparé à mes mousses au chocolat habituelles). Donc un conseil, faites comme Anne et oubliez la gélatine. La mousse avait l’air assez ferme comme cela. J’aurais pu la manger dans la foulée…
En revanche en terme de goût, j’ai été conquise. Le Baileys contrebalance très bien un chocolat à 72% que j’ai utilisé. Le dosage en sucre est parfait, le goût fort de l’alcool absent et on ne retrouvera que les arômes doux et complexe de la crème de whisky. Un vrai bonheur pour les papilles des Grands !
Une mousse au chocolat aux arômes riches de Baileys et sans oeuf pour les intolérants ou les têtes en l'air des courses !
Temps de préparation 15minutes
Temps total 2heures15minutes
Portions 3verrines
Ingrédients
100gchocolat72%
150gcrème liquide ENTIERE
75gBaileys
Instructions
Placez la crème dans un saladier avec les branches de votre batteur pendant 10 min au congélateur.
Portez le Baileys à quasi ébullition et mixez le chocolat pour le transformer en poudre.
Versez progressivement le Baileys chaud sur le chocolat râpé, en fouettant bien pour lisser et émulsionner le mélange. Vous pouvez même mixez la préparation.
Montez la crème en chantilly pas trop ferme.
Lorsque le mélange à base de chocolat est à 38/42°C, versez le sur la crème chantilly et mélangez en soulevant l'appareil à l'aide d'une maryse.
Coulez dans des verrines et laissez prendre au frais pendant 2 à 3h avant de déguster.
Cela faisait une éternité que je n’avais pas participé à Recettes autour d’un ingrédient, lancé à l’origine par Samar, du blog Mes inspiration culinaires et Soulef du blog Amour de cuisine. Et pour cette 38eme édition, Séverine du blog Maman, ça déborde a su titiller mon imagination en proposant de cuisiner des lentilles.
Pour l’occasion, j’ai donc mitonné un ragoût de lentilles avec des poivrons et de la tomate comme pour un poulet basquaise. Pour rappeler un peu plus le pays basque, j’ai ajouté du chorizo qui pimente agréablement les choses ! Je n’ai pas ajouté d’assaisonnement supplémentaire. Je trouve que le chorizo suffit à rendre le plat harmonieux. Dans la mesure où les lentilles sont une bonne source de protéine, ce plat peut faire office de plat complet. Après vous pouvez aussi l’accompagner de cuisses de poulet comme pour un vrai poulet basquaise.
La liste des participantes
Catalina du blog Le blog de Cataavec Salade de lentilles, gésiers de canard et Pak Choï
Jackie du blog Jackie cuisine avec Tartare de Noix de St-Jacques aux lentilles
En plus d’essuyer de nombreuses critiques concernant son manque de générosité sauf dans ses prix : « plats trop frugaux », « trop cher pour la quantité », « trop bruyant », « trop à l’étroit » et j’en passe, ce restaurant a surtout défrayé la chronique à cause de ses toilettes. Plus je lisais de commentaires, plus j’avais d’appréhension à l’idée d’y aller…
Mais le tableau dépeint est-il si noir que Trip Advisor ou Yelp le laissent deviner ? Qu’en est-il de la réalité des choses?
Commençons par ce qui nous intéresse bien évidement le plus : les toilettes !
Par rapport à tout ce que j’avais pu lire, je m’attendais vraiment à quelque chose de choquant. Au final, leur manque de respect se limite à une icone du Christ pour signaler les toilettes des hommes et une icone de la Vierge Marie pour ceux des femmes. Ajoutez à cela dans chaque toilette, un petit miroir avec une étagère supportant une statuette de la Vierge, une statuette d’eau bénite et un petit pape… Voilà ce qui a déchainé les critiques ! Honnêtement je m’attendais presque à une représentation du Chris cruxifié avec des porte-manteaux à la place des clous dans ses mains ou alors un Bénitier en guise de lavabo… Le champ des possibles était beaucoup plus vaste pour heurter les sensibillités…
Maintenant que les esprits sont apaisés, peut-être pourront nous passer au coeur de nos préoccupations : la qualité de l’offre des lieux.
Ma voisine et moi sommes allées découvrir l’endroit un samedi midi pour profiter du brunch (en ayant réservé, sinon c’est cuit !). Manque de chance, petite panne de courant au moment de notre arrivée. Cela a du beaucoup perturber la serveuse car elle était à côté de ses pompes quand elle est venue prendre notre commande. Elle ne nous a pas immédiatement expliqué la formule du brunch et après avoir commandé nos smoothies (en plus du brunch) un carotte-pomme-orange-gingembre pour moi et un orange-banane-framboise pour ma voisine, elle est revenue nous voir deux minutes après nous affirmer « donc vous avez pris un smoothie au celeri et un à la betterave c’est bien ca ? » … hummm.. comment dire… pas du tout ! Bref après ce faux pas au départ donc est vite rentré dans l’ordre et elle semblait un peu plus à ce qu’elle faisait. J’ai trouvé sympa d’avoir une offre de milkshake et de smoothies préparés frais (j’ai vu notre serveuse attraper des pommes entières et les passer à l’extracteur de jus). Le résultat est franchement très qualitatif.
En attendant notre commande, nous avons pu observer les lieux. C’est un espace effectivement assez étroit et tout en longueur. Le comptoir avec le bar occupe la moitié de l’espace. Les tables sont carrées, petites et disposées de manière assez serrée. Entre nos jus et les assiettes de brunch, la table était déjà pleine. Alors quand elle est revenue avec une planche contenant le pain et les viennoiseries et qu’elle nous a demandé de faire de la place j’ai eu l’espace d’un instant envie de la rembarrer en lui disant : » comment ? En mettant mon assiette sur mes genoux ?! » Même en rangeant mieux la table, je ne vois pas où cela aurait pu passer ! Fort heureusement, la fréquentation des lieux était modeste ce jour là, donc nous avons pu nous installer à une table de 4 à la place de la lilliputienne table pour 2 personnes qui nous avait été allouée. Au final nous avons savouré notre repas sur la banquette, à côté de la baie vitrée donnant sur la terrasse. C’était franchement super agréable ! Un véritable décor de refuge de montagne avec la neige encore présente et les couvertures pour se réchauffer !
Comme tout est vitré avec des verrières ouvrier, l’endroit est plutôt lumineux et ne semble pas étouffant malgré son étroitesse. C’est très positif. le cadre fait moderne mais tout de même chaleureux. En revanche c’est bruyant. Entre la préparation des plats, le fond musical et des jus et les conversations des personnes, le niveau sonore monte très vite (même s’il y a très peu de monde).
Maintenant pour ce qui est du repas, beaucoup de critiques ont signalé que c’était trop léger. Et bien en ce qui concerne le brunch, je trouve cela parfait voire copieux ! Sans compte que le contenu est varié et savoureux… Pour 18,5€, nous avions :
une viennoiserie,
du pain avec un peu de beurre,
une soupe de fenouil et oignon avec des lardons,
un tartare de saumon (ou boeuf à choisir),
des oeufs brouillés (ou à la coque, à choisir), une petite salade de crudités,
du fromage (tomme et brie) et de la charcuterie (chorizo et mortadelle)
C’est honnête ! Après il ne faut pas perdre de vue que les boissons ne sont pas comprises. Un smoothie par ci, un chocolat chaud par là, la note sale assez vite …
En dehors des oeufs brouillés qui étaient trop secs pour moi (ça faisait un peu trop omelette émiettée) le reste était excellent et bien assaisonné. Vraiment aucun regret à avoir. En plus, la viennoiserie était feuilletée correctement, sans être excessivement grasse et lourde sur le ventre. Et le pain est choisi avec soin : une mie dense avec une belle croûte rustique, coupé en tranches épaisses. C’est comme cela que je le préfère. Donc un coup de coeur pour moi.
Nous y sommes retournées un lundi soir sur les coups de 18h45 pour boire un verre. J’ai pris un smoothie (pomme-kiwi-citron vert) tandis que ma voisine a opté pour un verre de rouge frais. J’ai été très satisfaite de mon smoothie (bien que sa robe orangée m’ait surprise!), il était délicieux. La carte des boissons est fixe et la voici :
Carte des boissons – 1
Carte des boisson – 2
En revanche le menu change quotidienne (pour certains plats) selon l’humeur du chef et les courses du marché ! A titre d’exemple, voilà quelques propositions qui ont déjà été faites :
J’avais cru comprendre que ce « café où manger » proposait des assortiments de tapas. Pourtant quand ma voisine a demandé ce qu’elle pouvait grignoter en accompagnement, on lui a uniquement présenté un tableau avec divers plats à la composition assez élaborée mais qui n’étaient pas vraiment à des tapas à partager (mis à part le plateau de fromages et celui de charcuteries). Le service m’a paru d’une grande lenteur alors qu’encore une fois nous n’étions que 4 ou 6 à ce moment dans là… 45 min plus tard, l’endroit était quasiment plein !
Ma voisine a particulièrement apprécié sa burratina à la purée de panais-pomme de terre, accompagnée de fruit de la passion et de pamplemousse. Il faut reconnaître que même si le service est lent, ils savent présenter les choses avec style et élégance. Les associations de saveurs sont en plus assez recherchées. Son plat était plutôt une sorte d’entrée un peu copieuse ou de plat un peu léger.
In fine, c’est une adresse que je recommande si vous avez envie de soigner vos papilles avec des saveurs différentes du quotidien. Prévoyez un certain budget, du temps et gardez à l’esprit que ce n’est pas l’endroit le plus intime. Bien qu’à vrai dire, on se fond très rapidement dans la masse.
Résumé
« A Confesse»
Bar, tapas, brunch
Brunch : 18,50€ Assiette : 6 à 14€
Arrêt Stockel (Metro 1)
Rue de l’Eglise 74-76
1150 Woluwe Saint Pierre
On a tous eu le droit au marbré Savane pour notre anniversaire, mais qui à eu le privilège d’en avoir un à la pistache et au chocolat ? La pistache c’est un des parfums forts de mon enfance (oui mes glaces préférées, c’était les pistache-chocolat, sans parler des flans à la pistache et ceux au chocolat). Alors, c’était évident qu’un jour j’allais me lancer dans la régression totale avec un marbré qui combine tout cela.
C’est chose faite avec mon allié habituel : la poudre à flan pistache. Elle a fait ses preuves à de nombreuses reprises comme ici ou là. Moins cher que la pâte de pistache, un goût plus chimique que la pâte de pistache, un jolie couleur vert tendre et une multiplicité d’usages. Bref, je ne taris d’éloges la concernant.
Il y aurait mille et une autres façons de faire ce gâteau… En prenant aussi de la poudre à flan au chocolat pour faire la partie chocolat ou encore du cacao. Choisir du lait à la place de la crème. Ou avec une base de chocolat blanc pour la partie pistache. A vous d’adapter selon vos envies et le contenu de vos placards. A titre indicatif, les autres recettes que j’ai pu voir sur le net contiennent en général 25g de cacao en poudre. Je suis simplement repartie de mon marbré chocolat-caramel qui avait beaucoup plu.