Cette année pour Noël, nous ne faisons ni dans la folie des grandeurs, ni dans le comité réduit ! La famille est légèrement dispersée et tout le monde ne pouvait pas être présent, donc nous ne seront que 5 adultes, 4 enfants dont 2 nourrissons tous frais tous beaux et un ami à 4 pattes amateur de foie gras !
C’est une fin d’année assez mouvementée. Une fois de plus, le sapin est prêt le jour même. Et pour cause : un voyage imprévu à Bruxelles est un peu venu tout bouleverser. Et oui car la nouvelle année sera sous le signe du changement pour moi ! Je déménage et j’entame un nouveau travail là-bas dans … le chocolat !!! Je vais enfin réussir à concilier travail et passion ! Je suis toute excitée malgré la montage de formalités administratives …
Je ne me sentais pas trop de préparer tout le repas du réveillon et ma mère avait très envie de s’en charger aussi. Alors nous avons partagé et combiner les idées de l’une et de l’autre. Au final, nous avons concocté un menu très gourmand :
Mais les festivités ne s’arrêtent pas là ! Le lendemain, nous rempilons pour fêter l’anniversaire de mon filleul. J’ai notamment prévu pour l’occasion un somptueux layer cake aux cookies tout chocolat et banane Haribo.
Comme d’habitude, je vous proposerai les recettes plus tard. En attendant, je vous invite à regarder le menu que nous avions faits pour Noël 2016 ainsi que celui de Noël 2015. N’hésitez pas non plus à consulter la rubrique des Gâteaux de fêtes du blog et plus particulièrement les Bûches.
Je vous souhaite de très agréables fêtes de fin d’année, qu’elles se déroulent dans la joie et la bonne humeur !
Après l’année dernière et le Noël en grande pompe avec toute ma famille, c’est dans l’intimité avec ma mère que je vais le fêter cette année. J’en ai donc profité pour réduire le repas. J’ai passé à l’as une entrée, mais hors de question de faire l’impasse sur le foie gras ! Sinon j’ai plutôt opté pour un plat à base de poisson. Pour compenser ce côté frugal et malgré tout mettre l’accent sur le coté festif, j’ai essayé d’être originale et créative sur les accompagnements. D’une part en recyclant l’idée de l’Escorial et de sa Jack be Little. Et d’autre part, en détournant le succès de Christophe Michalak, en un Fantastik salé. Pour le dessert, j’ai voulu de la gourmandise et je suis partie sur une variante de mon coup de coeur de la Bataille Food #40 du blog Grain de Faim Kelly.
Nous sommes un peu en retard en terme de décorations et d’organisation. Beaucoup de choses se planifie au dernier moment cette année, comme ce fut le cas de la réalisation de ces verrines de Noël. Donc vous aurez les photos plus tard ;-), de mêmes que les recettes de nos réjouissances gastronomiques, qui vont s’articuler autour de :
Entrée :
Foie gras d’oie acheté lors des portes-ouvertes Foie gras & Loupiac
compotée rhubarbe-abricot au romarin
Brochette de petits pains (nature, mie, seigle et noix)
Je ne serai pas très présente ni sur mon blog ni sur les vôtres en cette période de fêtes car je passe mes journées en cuisine à tout préparer pour régaler ma famille !
Cela fait 6 ans maintenant que je me charge du réveillon de Noël et ma mère du repas du 25. Au départ, c’était une initiative pour que notre mère puisse profiter, elle aussi, des fêtes et manger à table avec nous plutôt que d’être toujours fourrée dans la cuisine. Au fur et à mesure, c’est devenu un vrai plaisir pour moi de me casser la tête à trouver LE menu qui ira bien pour le réveillon !
Préparation des pains aux raisins
Badigeonnage du foie gras à la vanille
Cette année, j’ai commencé les préparatifs dès le 20 Décembre (dès mon arrivée en Normandie en fait ^^) ! J’ai vraiment envie de faire les choses en grande pompe, car pour la première fois depuis des lustres, toute ma famille sera réunie ! Au bas mot : 7 adultes et 6 enfants !!! Alors je mets les petits plats dans les grands !
Tout le monde arrive le 24 dans l’après-midi ou avant. Même si on (ma mère et moi) préfère éviter pour ne pas être trop dérangées par les enfants dans les préparatifs. En général nos festivités se déroulent ainsi :
20h : Repas des enfants et apéro de la patience
Les enfants mangent en général en premier sur les coups de 20h et nous prenons l’apéro tous ensemble. Depuis 2 ans ma mère laisse les enfants choisir le contenu de leurs assiettes… Bilan des courses, on se retrouve avec des kébabs, des hamburgers-frites et l’année dernière nous avons même eu le droit à un menu à thème … Ma nièce ne voulait que du NUTELLA ! (de la gaufre en passant par les beignets et les crêpes…). Pas folle la guêpe ! Vous auriez résisté vous, si on vous avait proposé de réaliser vos moindres souhaits en cuisine à cette âge là?
23h : Messe de minuit
Bref après le repas des enfants nous attendons patiemment la messe de minuit (enfin…qui se termine à minuit). Toute ma famille ne s’y rend pas. Et c’est plutôt pratique D’une part cela permet qu’il reste toujours quelqu’un pour surveiller la cuisson des viandes et d’autre part, tous les enfants ne sont pas encore en âge d’aller à la messe alors il faut bien qu’il reste du monde pour les garder!
00H30 : Mise aux fourneaux !
A notre retour de la messe, je prends possession de la cuisine et autant vous dire que cela devient un no man’s land ! C’est mon territoire et hors de question que qui que ce soit vienne m’envahir ! Je veille très jalousement sur mon domaine ! Pendant ce temps là, ma mère dresse sa table de Noël et si les plus jeunes qui croient encore au père Noël sont couchés, on en profite pour déposer les cadeaux au pied du sapin. Avant le passage à table, nous faisons souvent une photo de famille où je tire la tête parce qu’on m’arrache à ma cuisine. ^^
1h20 : A table !
Notre repas débute à la lueurs des chandelles sur les coups de 1h du matin (temps de préparation oblige…). Il dure en général 2h. Chacun prend son temps pour manger, je prends mon temps en cuisine puisque que j’apporte les plats assiette par assiette. J’essaie de leur faire des belles présentations (la seule fois de l’année où je me casse la tête à me transformer en restaurant semi-gastro !).
2h30 : Déballage des cadeaux
Nous commençons à déballer les premiers cadeaux au moment du dessert. On en garde 1 chacun pour que les enfants constatent le matin que le Père Noël est également passé pour les Adultes.
Le midi du 25
C’est ma mère qui prend le relais dans la cuisine. Ma dernière mission : réaliser le gâteau d’anniversaire de mon filleul qui est né le jour de Noël (oui, il y a 6 ans, j’ai passé ma nuit de Noël à la maternité, j’ai sauté le petit déjeuner et mon beau-frère m’a emmené au McDo à midi …). Etant vraiment très peu présente pour mes filleuls, j’essaie de me rattraper (au moins pour celui là) en lui faisant un gâteau un peu spectaculaire… Jusqu’à présent, il a eu le droit à son Flash McQueen en 3D et pâte à sucre et à la Tête de Spiderman. Cette année ce sera un gâteau à damiers (monsieur voulait du chocolat et de la vanille en parfum).
Le soir du 25
On fait les restes (les pires restes du monde, on est bien d’accord ).
Bien sûr, nourrir tout ce petit monde avec de bons plats, bien présentés et sans trop les faire patienter requiert une très bonne organisation ! Cette année, j’ai décidé de congeler le maximum de choses possible et de décongeler au dernier moment (du moins tout ce qui peut l’être sans gâcher ses qualités organoleptiques). J’attaque en général dès 8h voire 7h du matin en même temps que je déjeune. On débute par les desserts et tout ce qui peut se congeler.
Mon menu se compose systématiquement :
d’une première entrée (type « poisson/crustacés » ou type « viande ») puis
d’une deuxième entrée autour du foie gras (Paris-Brest, terrine, crème brûlée … je varie, mais le foie gras est un INCONTOURNABLE) suivi
d’un plat principal (du type opposé à celui de l’entrée) et enfin
d’un dessert.
Au départ, je faisais également une bûche, mais il s’avère que ma famille peinait déjà à arriver à la fin du repas alors j’ai fini par arrêter la bûche.
Tous les ans, j’aime bien me fixer des objectifs différents. Une année, j’ai eu envie de soupe [Noël 2010]. Une autre année, je m’impose de faire un plat au poisson (je trouve ça plus compliqué de trouver l’inspiration pour le poisson, surtout qu’il faut que cela plaise à tout le monde). L’année passée, j’ai remplacé l’entrée par du fromage (à la longue, j’étais frustrée de ne pas faire de plateaux de fromages). Bizarrement, je trouve toujours les idées de desserts en premier. J’ai une préférence pour les desserts glacés. Ils passent plus facilement et en prime, on peut les faire à l’avance. Pour cette année, je prépare absolument tout : même le pain d’accompagnement (blinis pour le foie gras et pain à la châtaigne pour le plat principal). Voici donc mon menu de cette année :
1ere entrée :
Cromesquis de crabe à la noisette et saint-jacques poêlées aux pommes et calva
Etant donné que tout le monde dort à la maison le 24 au soir (ou plutôt au matin pour nous), j’ai voulu leur préparer plein de brioches maison pour le petit déjeuner ! J’ai réalisé de grosses briochettes (rhum-cannelle et fleur d’oranger). J’ai même préparé une couronne des rois bordelaise (fruits confits et rhum) qui malheureusement, n’a pas très bien levé… J’ai même trouvé le temps de préparer de succulents et énormes pains aux raisins pour ma maman, qui en raffole.
Couronne des rois Bordelaise
Une de mes somptueuses « briochettes »
Un succulent pain aux deux raisins
Maintenant vous comprenez pourquoi, je ne serais pas très disponible. Sans compter que je veux passer du temps avec mes proches. Vous aurez donc les articles après coup! D’ailleurs, je m’excuse par avance de la qualité des photos : il fait plutôt sombre dans la cuisine de ma mère donc je dois travailler avec les lumières allumées et cela donne une teinte jaunasse, que je déteste, aux photos. L’angle des étapes de préparation sera également étrange car si je me place au-dessus de mes plats, vous aurez mon ombre… donc elles seront prises de côté. Enfin, le repas aux chandelles n’est pas le meilleur moyen de mettre en valeur les plats…
Je vous souhaite de très agréables fêtes de fin d’année. Profitez bien de ces festivités !
Avec le retour du printemps et de l’été, vous allez sans doute avoir envie de vous remettre à manger des crudités et toutes sortes de salades, que ce soit par envie de fraicheur ou de légèreté. Malheureusement on finit vite par tourner avec les mêmes ingrédients…
Les ingrédients
Pour palier au manque d’inspiration, je vous ai concocté un petit tableau par catégorie et par couleur de divers ingrédients pouvant rentrer dans la composition des salades ! Le tableau est construit comme suit et il est accessible sur ce lien :
*vous allez être redirigé vers une nouvelle fenêtre sur laquelle il faudra cliquer sur « download », le tableau s’ouvrira alors dans une autre fenêtre.
Ce tableau est loin d’être exhaustif. D’ailleurs, si vous constatez que j’ai fait l’impasse sur des ingrédients essentiels, n’hésitez pas à me le signaler!
L’idéal pour concocter une salade qui va vous rassasier dans la durée et être complète est d’avoir un aliment dans chaque catégorie :
La Base , grâce aux féculents et légumineuses présents dans cette catégorie, représente la source de glucides (exception faite de la salade qui doit être complétée par autre chose pour vous tenir au corps correctement)
Les Fruits et Légumes, permettent un apport en fibres, vitamines etc… Le fait de devoir les croquer et passer du temps à les manger, contribue à vous donner la sensation de rassasiement
La Viande et le Fromage sont une source de protéines. L’avantage du fromage est qu’il vous apporte une source de calcium et de minéraux en prime. En contrepartie, il sera la plupart du temps, plus gras qu’un morceau de viande.
Le Dressing est surtout là pour vous faire plaisir et apporter une touche personnelle via les aromates. La vinaigrette permet de couvrir une partie de vos apports journaliers en matière grasse.
Les sauces
Et si on parlait sauce maintenant ? De base, je prends ma salade nature, mais très peu de personnes sont aussi puriste que moi. C’est pourquoi je vous propose encore une petite liste de sauce couramment utilisées pour accompagner les salades.
Vinaigrette classique :
2 cas d’huile de tournesol
1 cas de vinaigre de cidre
1 pincée de sel
1 pincée de poivre
Vinaigrette sucrée-salée :
1 cas de vinaigre balsamique
2 cas d’huile d’olive
1 cac de miel
1 cac de moutarde à l’ancienne
Mayonnaise :
1 jaune d’œuf
1 cuillère à café de moutarde
25 cl d’huile
1 pincée de sel
1 pincée de poivre
Sauce légère au yaourt :
100g de fromage blanc ou de yaourt bulgare/ brassé
1 cac de ciboulette hachée ou de menthe hachée
1 pincée de poivre
1 pincée de sel
1/2 cac de jus de citron
De plus en plus d’huiles et de vinaigres aromatisés sont disponibles en grande distribution ou dans les épiceries fines. Toutes les huiles n’ont pas la même composition en acides gras et donc pas les mêmes intérêts nutritionnels pour l’organisme. A vous de faire vos mélanges pour satisfaire votre gourmandise!
Pour les huiles d’assaisonnement, celles que vous allez consommer sans cuisson (sous peine de voir leur propriétés organoleptiques et nutritionnelles se détériorer) veillez à prendre des huiles de bonne qualité. On conseille la plupart du temps de les choisir de première extraction à froid. Il existe beaucoup de polémique autour des teneurs en Omega 3 et 6, ainsi que sur les acides gras trans et insaturés, notamment vis à vis des maladies cardio-vasculaires. C’est à vous de voir… Selon moi, c’est un sujet à prendre avec des pincettes. Beaucoup de personnes en parlent sans avoir de recul ou les connaissances adéquates. Je n’ai pas eu de cours de nutrition, mais des interventions de l’ITERG sur l’extraction des huiles et leur traitement. Cela m’a permis de démystifier un peu tout ça et de moins diaboliser tout ce qui a trait à la matière grasse. En bref, vous trouverez facilement sur internet des informations sur les compositions des huiles. Il y a cet article assez critique et engagé, mais qui propose à la fin un tableau récapitulatif ou ce petit dossier, d’un ton plus neutre, qui offre aussi un résumé des teneurs de chaque huile. Enfin, voilà un dernier dossier très complet sur les utilisations des huiles en général et les quantités conseillées. Citons à titre d’exemple les huiles suivantes : olive, colza, cameline, chanvre, lin, sésame, noix, noisette, germe de blé, pépins de raisins… Pour un goût un peu plus particulier et oriental, pourquoi ne pas tenter de l’huile d’argan ? Au contraire pour une saveur très neutre, optez plutôt pour de l’huile de tournesol.
Pour le vinaigre, même combat. De plus en plus de livres font l’apologie du vinaigre de Cidre, ce produit miracle, comme le bicarbonate, plébiscité par toutes nos grands-mères, qui peut servir partout dans la maison. Mais ce serait dommage de se cantonner à ça, quand un aussi grand panel est à votre disposition pour vous faire plaisir et enchanter vos papilles ! En France, la législation impose qu’un vinaigre soit le fruit d’une double fermentation (acétique et alcoolique) et soit dépourvu d’additifs (mis à part sucre, sel, aromates et arômes naturels). Sans cela, le produit ne peut porter l’appellation « vinaigre ». Voici un dossier plutôt complet sur les utilisations des vinaigres et ses vertus. Citons les vinaigres suivant : balsamique, Xérès, de vin (blanc ou rouge), miel, riz (au Japon ou en Chine), malt (surtout en Grande-Bretagne), de céréales, de sève (érable au Canada) framboise, mangue, agrumes … Allez jeter un coup d’oeil sur le site Maille pour vous rendre compte de la diversité en matière de vinaigres!
Enfin, pensez à agrémenter vos sauces d’herbes ou d’épices pour varier. Une touche de persil ou d’échalotes séchées changera une sauce fade en une petite merveille. De même, un peu de menthe apportera un côté rafraichissant très agréable avec des concombres. De l’aneth ou de l’estragon rendra à merveille avec les crustacés et autres fruits de mer. N’hésitez pas à avoir recours à des « artefacts » comme du Viandox, de la sauce Worcetershire ou du tabasco pour apporter un soupçon de caractère en plus!
Sinon, je vous conseille d’aller faire un tour sur le site Sauce Salade (pour la page d’accueil c’est ici) qui propose un très bel éventail de vinaigrette, sauce au yaourt et mayonnaise. Sinon, faites un tour dans ma rubrique Sauce (qui est beaucoup moins fournie et qui n’est pas spécifique aux salades).
Mes recettes :
Enfin, voici quelques recettes que j’ai déjà réalisées :
Un zesteur relève vraiment du gadget superflu en cuisine. On n’en a absolument pas besoin pour prélever un zeste de manière correcte. Je vais vous livrer ma technique avec laquelle j’obtiens un résultat tout aussi satisfaisant avec des outils que l’on a tous dans notre cuisine.
C’est ma mère qui m’en a donné l’idée lorsqu’elle m’a montré comment tirer le meilleur arôme du persil, en l’effeuillant dans un verre puis en le hachant aux ciseaux.
Comment le préparer ?
Armez vous des outils suivants :
Une planche à découper
Un économe
Un couteau bien aiguisé sans dent (= couteau d’office)
Un verre assez étroit
Une paire de ciseaux
Avec l’économe, râpez l’agrume sur toute sa longueur. Vous obtenez une longue bande. Recommencez à intervalle régulier, jusqu’à avoir fait le tour du fruit.
Il faut maintenant racler la pellicule blanche à l’intérieur de la bande de peau car elle donne un goût amer très peu apprécié. Pour cela, prenez le couteau d’office et raclez la peau blanche en inclinant le fil du couteau sur la peau.
Découpez maintenant votre bande en fine lanière avec le même couteau d’office. Ces lanières peuvent être sympa pour la déco.
Déposez ces lanières dans le verre, puis hachez le tout avec les ciseaux. Vous allez obtenir de petits « grains » de zeste.
A quoi sert-il ?
On se sert des zestes pour renforcer le goût des préparations et apporter un peu de craquant. Vous pourrez l’utiliser dans toutes sortes de recettes, tant sucrées que salées (plats mijotés…). A titre indicatif, voici quelques recettes :
On gâche assez facilement le pain. En particulier les baguettes pas finies, que l’on ne juge plus assez croustillantes et fraîches le lendemain… Alors ça finit à la poubelle ou au parc pour nourrir les canards (voire aux lapins ou aux chevaux).
Mais on oublie vite que le pain rassis peut servir :
en croûtonsfrottés à l’ail dans une une salade ou dans une soupe à l’oignon
enBoule auvergnate(un gâteau de pain salé, un peu comme de la tortilla espagnole).
En Croûtes au beaufort (un gratin de pain rassis avec une béchamel très gourmande au Beaufort)
Sinon, une fois finement broyé, ce n’est ni plus, ni moins que de la chapelure. D’accord une boîte de chapelure, ce n’est pas ce qui coûte le plus cher (dans les 4€/kg), mais ça permet d’écouler ses stocks de pain dur.
Et si vous êtes plus sucré, vous pouvez également préparer du pain perdu ou le gâteau de pain nommé mendiant lorrain (ou bettlemann).
Voilà un petit dossier qui vous sera utile si vous n’avez pas de balance ou si vous voulez cuisiner une recette à partir de mesures américaines. En effet, ces petits malins trouvent très drôle de négliger le système métrique international, et préfèrent les CUPS à nos bons vieux GRAMMES !
De plus, nous n’avons pas tous les mêmes fours, alors vous trouverez aussi les équivalences en températures, ainsi que d’autres conversions usuelles et utiles en cuisine.
Si jamais vous voulez d’autres informations, ou si vous trouvez qu’il manque certains aliments, n’hésitez pas à m’en faire part.
Température
Dans la cuisine américaine, les températures sont données en degrés Fahrenheit. Par ailleurs, dans certains vieux livres, les températures du four sont données selon des appellations, ou avec des thermostats.
Pour une cuisson dans des conditions optimales, il faut toujours penser au préchauffage. Pensez à allumer votre four lorsque vous commencez la préparation de votre plat pour que le four soit à bonne température lorsque vous aller enfourner.
Temp (°C)
Temp (°F)
Th
Appellation
Utilisations
30
86
1
Tiède
Faire lever des pâtes
60
140
2
Très doux
90
194
3
Doux
Maintenir au chaud (80°C)
120
248
4
Doux
150
302
5
Moyen
Brioches (165°C)
180
356
6
Moyen
GâteauxViandes blanchesPoissonsBiscuits (170°C)
210
410
7
Chaud
TartesPièce à rôtirVolailles (200°C)Légumes (200°C)
J’ai arrondi toutes les valeurs à la dizaine la plus proche, histoire de ne pas compliquer les choses. Vous pouvez également allez consulter ce blog : Chocolate & Zucchini, s’il vous manque certains aliments.