Confit d’oignons et de framboises

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Quand j’ai vu cette recette sur le blog de la Kiwizine, j’ai tout de suite su qu’elle était faite pour moi! J’adore les chutney et les framboises, c’était forcément une association à tester ! Je croyais avoir assez de framboises, mais au final, je n’avais pas la quantité que je voulais… J’ai donc complété avec des groseilles. Histoire de poursuivre dans la lancée fruits rouges, j’ai opté pour un vinaigre de framboise à la place du vinaigre de cidre.

Je pense qu’il fera l’objet d’un test dans un croque monsieur avec du fromage de chèvre !

Pour un pot de 90g :

Ingrédients :

  • 60g d’oignon (1 petit oignon)
  • 60g de framboises surgelées
  • 1 cas de vinaigre de framboise (ou de cidre à défaut)
  •  1 cac de miel
  1. Emincez finement l’oignon (ou coupez le en fines lamelles).
  2. Faites le cuire à feu moyen dans une casserole à couvert pendant quelques minutes le temps qu’il devienne translucide.
  3. Ajoutez alors les framboises avec le vinaigre et le miel.
  4. Laissez réduire à feux très doux jusqu’à ce que tout le liquide ait disparu. A ce stade l’oignon doit être fondant  et le mélange assez pâteux (comme une confiture). Si ce n’est pas le cas, ajoutez un peu d’eau et poursuivez la cuisson.

Petite info complémentaire :

Normalement pour faire un chutney on rajoute un peu d’eau en complément du vinaigre. Ici, ce n’est pas la peine, car les fruits vont dégorger.

Raviolis à l’andouille de Vire et sauce au livarot

Une façon originale de déguster les produits de mon terroir Normand bien aimé. Laissez vous tenter. La compote de pomme adoucit délicatement le goût très fort de l’andouille. Après cuisson, on retrouve surtout le goût de fumé de l’andouille et le léger sucré de la compote. Concernant la sauce, c’est la bonne quantité de livarot. Avec plus, je pense que ce serait trop fort.

C’est un peu long de préparer ses raviolis, mais depuis que mon chéri m’a offert ma plaque à raviolis cela va beaucoup plus vite et mes raviolis sont plus beaux et réguliers ! Si vous voulez vous affranchir de l’étape de la préparation de la pâte à raviolis, j’ai vu que Herta vendait un rouleau de pâte à pâtes, nommé « Pâte à pasta« . Après je n’ai pas testé donc je ne sais pas ce que ça vaut. J’ai trouvé un feedback sur le blog Tests en cuisine si ça vous intéresse.

En revanche, j’ai tenté de faire des raviolis à partir de feuilles de lasagnes fraîches de marque Auchan (pensant que ça reviendrait ou même) mais la pâte était trop sèche et pas malléable du tout. Du coup, je n’ai pas pu façonner mes ravioli, si coller deux feuilles de lasagnes entre elles… J’ai donc préparé ma pâte à raviolis à l’arrache, juste avant l’arrivée de mes invités. J’ai fait l’impasse sur le temps de repos de 2h au frigo et j’ai façonné directement mes raviolis. J’ai juste respecté l’étape de séchage. Au final le résultat a été top !

Pour la pâte à raviolis :

  • 200g de farine T55
  • 2 œufs
  • 1 cas d’huile d’olive

Pour la farce :

  • 150g d’andouille de Vire
  • 150g de compote pomme (ou pomme-poire)

Pour la sauce au Livarot :

  • 60g de livarot
  • 10cl de crème liquide
  • 1 cas de calvados (facultatif)
  • 1 cac rase de maïzena
  1. Préparez la farce : coupez l’andouille en dés et mixez la. Ajoutez ensuite la compote de pomme. Vous obtenez une farce grumeleuse et légèrement humide.
  2. Préparez la pâte à raviolis : dans un saladier, versez la farine, creusez y un puits puis déposez-y les œufs battus avec l’huile. Mélangez à la main, jusqu’à obtenir une pâte un peu souple et non collante. Ajoutez de la farine ou de l’eau, si vous n’obtenez pas la bonne texture.
  3. Rassemblez la pâte en une boule, filmez-la et laissez-la au réfrigérateur pendant 2h. Sortez-la 10 minutes avant de la travailler.
  4. Préparez les raviolis : divisez votre pâte en deux (si vous avez un laminoir, c’est le moment de l’utiliser) sinon étalez-la au rouleau le plus fin possible (1mm est amplement suffisant) en forme de rectangle.
  5. Façonnez les raviolis soit à l’emporte-pièce, soit avec une plaque à raviolis, soit système D, à la main !
  6. Déposez ces raviolis sur une feuille de papier sulfurisé et laissez sécher 1h à l’air libre.
  7. Préparez la sauce : coupez le fromage en petits bouts (en gardant la croûte) et mettez les à fondre à feu doux dans la crème. Mélangez au fouet pour obtenir un mélange lisse. Prélevez 1 cas de sauce pour y diluer la maïzena. Ajoutez à la sauce sur le feu et faites légèrement épaissir.  Ajoutez le calvados en dernier.
  8. Cuisson des raviolis : mettez une grande casserole d’eau salée à bouillir. Plongez-y les raviolis. Laissez cuire 5-6 min après la reprise de l’ébullition.
  9. Servez les raviolis égouttés nappés de sauce au livarot avec une bolée de cidre doux.

Petite info complémentaire :

L’andouille a un goût très poivré, c’est pourquoi je n’assaisonne pas la farce. Et le livarot est un peu salé, c’est pourquoi, pas la peine non plus d’assaisonner la sauce !

Bretzel balls et sauce cheddar

Vacances de Février = club terroir à la rentrée!

Occasion tant attendue de pouvoir déguster de nombreux fromages! Ma contribution cette fois-ci aura été ces petites boules de bretzel à plonger dans une sauce au cheddar. Une initiative bien gourmande et conviviale pour un apéro ! Ces bouchées sont parties comme des petits pains !

Cette sauce est extrêmement facile et rapide à réaliser. Il s’agit tout simplement d’une béchamel au cheddar. S’il vous en reste, elle accompagnera volontiers des pâtes ou des oeufs durs et du chou-fleur.

Pour une trentaine de boules

Pour les bretzels :

  • 325g de farine
  • 1 sachet de levure de boulanger
  • 30g de beurre mou demi-sel
  • 120 mL d’eau tiède

Pour le pochage et les finitions:

  • Grande casserole d’eau
  • 40g de bicarbonate de soude (4 grosses cas)
  • 1 oeuf pour la dorure
  • fleur de sel pour la cuisson

Pour la sauce au cheddar:

  • 200g de cheddar
  • 20 cl de lait
  • 20g de farine (1 belle cas)
  • 20g de beurre
  • 1/2 cac de paprika
  • 1/8 cac de piment d’Espelette ou de Cayenne (pour un goût plus relevé)
  • 1/4 cac de sel
  1. Déposez vos ingrédients dans votre MAP et lance le programme pâte (1h30). Vérifiez en cours de pétrissage la texture de la pâte. Rajoutez un peu de farine si elle semble trop collante.

  2. Préchauffez votre four à 220°C.
  3. Quand la pâte est prête, écrasez la pour en chasser l’air puis divisez-la en boules de la taille d’une noix.
  4. Mettez un grand volume d’eau à bouillir avec le bicarbonate.
  5. Plongez les boules dans l’eau bouillante 1 min environ. Déposez les ensuite sur une feuille de papier sulfurisé
  6. Badigeonnez chaque boule d’oeuf battu puis saupoudrez quelques grains de sel à le surface.
  7. Enfournez pour 15-20 min le temps que les bretzels prennent une belle couleur marron-dorée.
  8. Pendant la cuisson, préparez la sauce : râpez le fromage et mettez le beurre à fondre dans une casserole.
  9. Quand il est fondu, jetez la farine dessus et mélangez au fouet. Ajoutez ensuite le lait et fouettez bien pour obtenir un mélangez homogène.
  10. Laissez épaissir à feu doux.
  11. Quand le mélange est bien épais, mettez-y le fromage à fondre avec les épices. Goûtez et rectifiez au besoin d’assaisonnement. Laissez épaissir encore un peu.
  12. Servez aussitôt avec les boules de bretzel tièdes.

Chutney d’oignons rouges

Un chutney tout à fait adapté pour une pissaladière ou pour accompagner un foie gras. Prévoyez vous un peu de temps devant vous. Un chutney n’est pas vraiment compliqué à réaliser mais il doit cuire à feu doux pendant 45min-1h.

Cette version est un peu ensaucée ou très peu caramélisée, si vous préférez, car je la destinais à garnir des paninis et je n’avais pas très envie que cela dégouline ou fasse trop « mélasse » à manger.

Pour 2 personnes :

Ingrédients :

  • 1 oignon rouge (environ 100g)
  • 1 grosse cas de miel (environ 20g)
  • 5cl de vinaigre de vin
  • 5cl d’eau
  • 3 pincées de poivre
  • 1 pincée de 4 épices
  1. Emincez finement votre oignon rouge.
  2. Dans une casserole, mettez le miel à bouillir.
  3. Puis ajoutez lui le vinaigre et les oignons. Enrobez les bien.
  4. Faites cuire à feu doux jusqu’à ce que tout le vinaigre soit absorbé (environ 20-30 min).
  5. Ajoutez ensuite l’eau et laissez de nouveau confire très lentement (environ 20-30 min). Les oignons doivent être fondants, légèrement translucides (au besoin rajoutez un peu d’eau pour prolonger la cuisson).
  6. En fin de cuisson ajoutez le poivre et le 4 épices. Mélangez, servez tiède ou refroidi.

Médaillon de veau, sauce à la vanille [Menu de Noël 2010]

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Si jamais vous êtes en panne d’idées pour votre menu de Noël, je vais vous confier celui que j’avais réalisé en 2010. Chaque année j’essaie de faire quelque chose d’équilibré, festif sans être trop copieux avec 2 entrées (dont une au foie gras), un plat principal (qui sera de la viande si l’entrée n°2 est du poisson et inversement), un dessert et une bûche (que l’on mange le lendemain la plupart du temps). Sachant que nous assistons à la messe de minuit, je m’arrange pour cuisiner le maximum de choses à l’avance. En général, je commence 3 jours avant la date fatidique par le dessert.

En 2010, le menu était :

Nage de Saint-Jacques au safran et petits légumes

Crème renversée au foie gras, caramel au calvados et tuile de sarrasin

Médaillon de veau, sauce à la vanille
Purée aux olives noires à la vanille

Entremet crousti-fondant au chocolat noir et crêpes dentelles

Bûche au citron meringuée

Je tiens à préciser que la bûche faisait le double en longueur, mais que face au manque d’appétit de ma famille après 2 repas gargantuesques, je n’en ai meringué que la moitié.

Je vous livre donc la recette des médaillons de veau avec cette sauce vanille. Vous obtiendrez un résultat particulièrement doux et suave, très délicat qui n’alourdira pas votre estomac! Mis à part la préparation de la purée, la cuisson de la viande est très rapide.

Pour 4 personnes :

Pour la viande et la sauce:

  • un filet mignon de 600g (découpé en 12 médaillons de 50g chacun)
  • 2 cas d’huile d’olive
  • 80g de beurre
  • le jus de 2 citrons
  • 1 cac de vanille en poudre

Pour l’accompagnement :

  • 800g de pommes de terre
  • 50g de beurre
  • 40cl de lait de croissance (parfumé à la vanille)
  • une vingtaine d’olives noires
  • 4 feuilles de bricks
  1. Préchauffez votre four à 200°C.
  2. Disposez une feuille de brick dans un ramequin en lui faisant épouser sa forme de manière à former une corolle comme sur la photo.
  3. Enfournez 15 min, le temps que cela dore et devienne croustillant.
  4. Préparez la purée : épluchez les pommes de terre et faites les cuire 30 min à l’eau bouillante salée.
  5. Découpez les olives en morceaux.
  6. Mettez le lait à bouillir avec les olives.
  7. Ecrasez les pommes de terres au presse-purée ou à la fourchette. Incorporez y progressivement le beurre puis le lait jusqu’à avoir une consistance assez épaisse.
  8. Déposez cette purée dans les corolles en feuilles de bricks.
  9. Poussez votre four à 240°C.
  10. Occupez vous maintenant de la viande : dans une grande poêle, faites chauffer l’huile puis revenir les médaillons de veau 5 min par face.
  11. Disposez les dans un plat à gratin et faites les cuire 5 min au four.
  12. Pendant ce temps, déglacez la poêle à feu vif avec le jus des citrons. Laissez bouillir au moins 1 min.
  13. Ajoutez le beurre et la vanille en fouettant. Ajustez l’assaisonnement avec du sel et du poivre.
  14. Servez 3 médaillons de veau par personne, nappé de cette sauce et une corolle de brick remplie de purée aux olives.

Petite info complémentaire :

Si jamais vous n’avez pas assez de sauce, ajoutez un peu de beurre. Et si vous trouvez cette sauce trop liquide, mélangez un peu de maïzena ou de fond de veau à 1 cas d’eau froide que vous incorporez ensuite à votre sauce à la vanille. Cela l’empêchera au passage de tourner.

Pesto Rosso

Pour changer du traditionnel pesto au basilic, je vous propose sa déclinaison à la tomate. On trouve déjà pas mal de recette sur la toile. Celui que je vous propose est une fois de plus assez épais car il est destiné à garnir une brioche. N’hésitez pas à le fluidifier avec plus d’huile d’olive. J’ai aussi un peu forcé la dose sur le parmesan pour que cela soit plus fondant et filant pendant la dégustation de la brioche. Si vous avez de l’ail et du basilic frais, surtout faites-vous plaisir!

Ce pesto peut servir de base sur un fond de tarte ou une pizza, mais aussi pour accompagner des pâtes ou sur des toats pour un apéritif.

Pour environ 200g :

Ingrédients :

  • 1 tomate (160g)
  • 50g de double concentré de tomate
  • 4 tomates séchées
  • 50g de parmesan
  • 25g de pignons
  • 2 cas d’huile d’olive
  • 2 cac de basilic séché
  • 1 à 2 cac d’ail séché
  • 1 cac de piment d’Espelette
  1. Faites bouillir une casserole d’eau. Plongez-y la tomate quelques minutes jusqu’à ce que la peau « explose ».
  2. Egouttez la tomate, laissez la refroidir un peu avant de la peler et d’enlever son pédoncule.
  3. Dans le bol d’un hachoir ou d’un mixeur, déposez : la tomate coupée en quartiers, les tomates séchées coupées en petits morceaux et tous les autres ingrédients.
  4. Mixez longuement jusqu’à obtenir une pâte assez épaisse plus ou moins lisse selon votre envie. Goûtez et rectifier l’assaisonnement.

Gnocchi au potiron, sauce à la châtaigne et aux morilles

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Encore une recette à base de potiron, mais cette fois-ci beaucoup plus festive. Ces gnocchi sont fait à base d’un mélange de purée de potiron et de purée de pomme de terre. J’aime beaucoup leur couleur orangée. Ils sont relevé avec une délicate sauce onctueuse et épaisse à la châtaigne et aux morilles, qui conviendra tout à fait pour accompagner une viande blanche.

Comme je ne suis pas fan de la texture chewing-gum des gnocchi cuits seulement à l’eau, je les poêle un coup après, pour qu’ils dorent et deviennent croquant à l’extérieur.

Pour 2-3 personnes :

Pour les gnocchi :

  • 100g de pommes de terre
  • 300g de chair de potiron
  • 150g de farine
  • 1 jaune d’oeuf
  • 1/2 cac de sel
  • 15g de beurre

Pour la sauce :

  • 80g de châtaignes cuites
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 2 cas de crème fraîche
  • 5 cl d’eau
  • 1/4 de cube de bouillon de volaille
  • 80g de morilles
  • 5g de beurre
  1. Préparez les gnocchi : faites cuire à l’eau la pomme de terre avec sa peau et la chair de potiron.
  2. Quand ils sont cuits, pelez la pomme de terre, écrasez la grossièrement avec la chair de potiron à la fourchette.
  3. Ajoutez ensuite, la farine, le jaune d’oeuf et le sel. Mélangez jusqu’à obtenir une boule de pâte homogène et pas trop collante (quitte à rajouter de la farine).
  4. Divisez votre boule en plusieurs morceaux et formez un rondin à partir de ce ci.
  5. Coupez chaque rondin en petits tronçons. Donnez leur la forme d’un mini boudin et déposez les sur une feuille de papier sulfurisé.
  6. Puis appliquer les dents d’une fourchette sur chaque boudin pour imprimer la marque dessus.
  7. Cuisson des gnocchi : faites bouillir un grand volume d’eau.
  8. Plongez les gnocchi et laissez-les cuire jusqu’à ce qu’ils remontent à la cuisson. Egouttez les. 
  9. Poêlage des gnocchis : faites fondre le beurre dans une pôele et faites y dorer les gnocchi à feu vif pendant 5 à 10min en les mélangeant pour qu’ils dorent bien sur tous les côtés.
  10. Préparation de la sauce : dans une poêle, faites revenir les morilles dans le beurre. Mettez les ensuite de côté.
  11. Dans la même poêle faites caraméliser les châtaignes avec le sucre vanillé.
  12. Déglacez ensuite la poêle avec l’eau et le bouillon de volaille.
  13. Ajoutez la crème et mixez l’ensemble pour obtenir une crème lisse et onctueuse.
  14. Ajoutez les morilles dans cette crème et faites mijotez quelques minutes à feu très doux.
  15. Servez les gnocchi poêlés nappé de cette sauce.

Sauce à l’oseille

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L’oseille est une plante de la même famille que la rhubarbe et elle est très appréciée en tant qu’aromate. Sa saveur acidulée se marie très bien avec les poissons, mais aussi les viandes blanches ou le fromage de chèvre. On lui attribue au passage des vertus stimulantes pour la digestion.
Elle pousse principalement de Mai à Octobre. Elle peut être dégustée crue en salade (comme les pousses d’épinards) ou cuite. Dans ce cas, prévoyez en beaucoup, car cela réduit comme peau de chagrin à la cuisson!

Ingédients :

  • 1 belle botte d’oseille
  • 1 échalote
  • 1 noix de beurre
  • 10cl de crème liquide (voire un peu plus)
  • coriandre
  • sel, poivre
  1. Epluchez votre oseille : pliez chaque feuille en deux et arrachez la tige, rincez les feuilles (attention aux escargots !), essorez-les puis coupez les en lamelles.
  2. Hachez finement l’échalote.
  3. Dans une casserole, faites fondre le beurre à feux moyen et faites y revenir l’échalote.
  4. Baissez à feu doux et ajoutez ensuite les feuilles d’oseille. Laissez les réduire.
  5. Quand les feuilles ont pris une teinte vert kaki, ajoutez de la crème jusqu’à obtenir la consistance qui vous plait.
  6. Salez, poivrez et ajoutez la coriandre. Gardez au chaud jusqu’au moment de nappez votre plat.